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Ou sont-ils maintenant? Une diplômée de la toute première classe prospère dans l’exercice en milieu rural francophone

En y repensant, la Dre Lyndsay Berardi dit que l’expérience de sa mère avec le cancer du sein a enflammé son ambition de devenir médecin de famille. À l’époque, elle était une adolescente francophone de Kirkland Lake. Le diagnostic a marqué le début de nombreux voyages à Sudbury pour le traitement du cancer, et allait tracer le cours de sa carrière en médecine.

« Même si j’étais relativement jeune, j’étais très consciente de certaines inégalités dans l’accès aux soins de santé; je devais conduire trois heures et demie pour me rendre à Sudbury pour les rendez-vous en oncologie de ma mère, et il y a eu des périodes où je ne l’ai pas vue pendant six semaines parce qu’elle subissait des traitements de radiothérapie » dit-elle.

« C’est à ce moment-là qu’une carrière en médecine m’a de plus en plus attirée. Je suis allée étudier la biochimie à l’université avec la ferme intention de présenter une demande d’admission à l’école de médecine. C’était à peu près au moment de la création de l’EMNO et tout le monde dans le Nord de l’Ontario était très enthousiaste d’avoir une nouvelle école de médecine ».

« Aller à la nouvelle école de médecine est devenu mon but ultime. J’ai fait toutes mes études universitaires en me disant que je ferai partie de la toute première classe. L’objectif était d’entrer en médecine afin de pouvoir aider des gens comme ma mère en leur assurant l’accès à des soins de santé dispensés avec compassion et culturellement appropriés de la part de quelqu’un vraiment investi dans leurs soins. »

Aujourd’hui encore, la Dre Berardi affirme qu’elle s’efforce d’aider ses patients à s’y retrouver dans les méandres du système de santé : « Le système est compliqué pour les médecins, et à plus forte raison pour les patients qui ne sont pas bien et qui ont peur. C’est ce que j’ai vu arriver à ma mère et je tenais absolument à faire partie de la solution. »

La Dre Lyndsay Berardi a fait partie de la toute première classe de l’EMNO en 2005. C’est là qu’elle a rencontré son mari, le Dr Philip Berardi, membre lui aussi de la toute première classe, originaire de Sault Ste. Marie, et maintenant hématopathologiste à L’Hôpital d’Ottawa et professeur adjoint à l’Université d’Ottawa. Ils ont trois enfants et vivent à Orléans, entre Rockland et Ottawa.

Le cabinet de médecine familiale de la Dre Berardi se trouve à Rockland, une communauté rurale francophone de quelque 10 000 personnes située à environ 45 minutes à l’est d’Ottawa. Elle dit avoir été attirée par la petite communauté francophone parce qu’elle lui rappelle le Nord de l’Ontario francophone. À Rockland, elle exerce entièrement en français « ce dont je suis très fière et que je suis heureuse de pouvoir faire », dit-elle.

« Nous avons toujours eu l’intention de retourner dans le Nord de l’Ontario, mais en raison du niveau de spécialisation de Phil, les emplois pour lui étaient principalement dans les grands centres tertiaires, c’est pourquoi nous avons choisi Ottawa. C’est aussi comme ça que j’ai découvert Rockland, où je travaille comme médecin de famille depuis que j’ai terminé ma résidence en 2011. »

Elle attribue à la défense des intérêts des francophones, au programme d’études et à l’inclusivité de l’EMNO le soutien qui lui a permis d’effectuer ses études de médecine en français.

« Sans l’EMNO, je ne sais pas si j’aurais pu acquérir l’expérience dans les communautés francophones, les compétences médicales et la terminologie en français nécessaires pour continuer à exercer entièrement en français. J’aurais probablement fini par exercer en anglais. »

« Étant née et ayant grandi à Kirkland Lake dans une famille francophone, j’accordai beaucoup d’importance au maintien de la langue française. L’EMNO a toujours mis l’accent sur les soins de santé en français et les apprécie à leur juste valeur; tous les efforts ont été faits pour me permettre d’apprendre et d’exercer en français. »

« Les termes médicaux en français ne sont pas tous des mots couramment utilisés; il y a donc eu une courbe d’apprentissage au cours des dix dernières années quand je n’exerçais qu’avec des médecins et des patients francophones. Je ne pense pas que j’aurais été à l’aise si l’EMNO ne m’avait pas donné la possibilité d’apprendre la médecine en français. »

À son avis, la sensibilité culturelle est un point fort fondamental du programme de médecine de l’EMNO, tout comme l’approche de l’École en matière de compétences cliniques : « Pendant mes études à l’EMNO, j’ai eu l’occasion de me concentrer sur les compétences cliniques dès le début. C’est ce qui fait le succès de l’École. J’enseigne maintenant à des médecins en deuxième année de résidence dans des endroits comme l’University of Toronto, qui n’ont fait que lire les compétences que la population étudiante de l’EMNO a appliquées plusieurs fois. »

« Par exemple, quand je suis arrivée en résidence, j’avais fait plusieurs ponctions lombaires, alors que d’autres disaient qu’ils n’avaient fait que lire plusieurs documents à ce sujet. C’est la beauté de l’EMNO, et de la médecine rurale. C’est une approche très pratique de l’apprentissage de la médecine. Il n’existe pas non plus entre les résidents de hiérarchie dans laquelle il faut se frayer un chemin pour avoir l’occasion d’essayer. »

« Pouvoir travailler dans une communauté rurale et fournir des soins en français sont deux choses qui m’importent. J’espère que même si nous n’avons pas pu retourner dans le Nord de l’Ontario, les gens sont conscients de la valeur de pouvoir fournir des soins en français dans une communauté rurale. »

« Je me sens redevable à l’EMNO. Le programme a changé ma vie : c’est là que j’ai rencontré mon mari, et c’est là que j’ai eu du soutien pendant ma formation car les études de médecine et la résidence ne sont pas faciles. Je suis très reconnaissante au corps professoral de Sudbury d’avoir pris le temps de m’enseigner. Sans les nombreuses heures qu’il a consacrées à mon apprentissage et à la réussite de l’École, nous ne serions pas là où nous sommes actuellement dans notre vie. Je ressens ce sentiment de gratitude chaque jour et chaque fois qu’une étudiante ou un étudiant ou une résidente ou un résident travaille avec moi. Je suis très reconnaissante à l’EMNO pour cela. »

La responsabilité sociale dans l’exercice quotidien

La Dre Ella Goodman, membre de la toute première classe et diplômée en 2011 de l’École de médecine du Nord de l’Ontario (EMNO) intègre constamment la responsabilité sociale dans l’exercice de sa profession. Depuis neuf ans, elle prend soin de populations très vulnérables au Norwest Community Health Centre au sud-est de Thunder Bay.

« Nous avons beaucoup de familles à faible revenu, de patients seuls sans médecin de famille, une grande communauté de réfugiés syriens, une importante communauté autochtone urbaine et beaucoup de personnes insuffisamment desservies en général. Nous nous efforçons sans cesse de bien comprendre les besoins de chacune, de leur fournir de meilleurs soins de santé et l’accès aux services de santé qu’elles méritent » explique la Dre Goodman.

Les nouvelles options de soins virtuels offertes au cours de l’année écoulée ont aidé certaines personnes à accéder plus facilement à des services.

« En période de pandémie de COVID-19, nous essayons le plus possible de continuer d’offrir nos services et de nous adapter; c’est pourquoi nous offrons une combinaison de rendez-vous en personne et virtuels. Les rendez-vous virtuels sont réellement bénéfiques pour nos clients. Les heures de rendez-vous posaient des problèmes à beaucoup de personnes qui travaillent et à celles qui ont des problèmes de transport. Maintenant, elles apprécient de ne pas être obligées de prendre des congés, ou de prendre l’autobus pour venir ici attendre dans la salle d’attente bondée pour un rendez-vous de dix minutes. Les rendez-vous virtuels sont beaucoup plus accessibles pour les personnes qui disposent de la technologie. »

En outre, la Dre Goodman attribue à l’équipe de santé du centre les avancées uniques et réfléchies dans les soins socialement responsables : « Les travailleuses et travailleurs en santé communautaire ont mis en place différents programmes, par exemple de fourniture de colis d’articles de toilettes, de nourriture et de produits ménagers communs à certaines de nos populations pour qui il peut être difficile de se procurer ces articles pendant la pandémie. »

Elle estime que sa formation à l’EMNO l’a bien préparée à tenir compte des sensibilités culturelles et d’autres réalités de l’exercice qui existent non seulement ici dans un des quartiers les plus difficiles de Thunder Bay, mais aussi dans de nombreuses communautés de l’Ontario.

« Beaucoup de personnes sont indubitablement craintives quand elles n’ont pas reçu de soins équitables par le passé. L’EMNO m’a préparée à essayer de briser ces obstacles et à être consciente de la culture. J’essaie de forger une alliance dans laquelle les patients peuvent venir sans crainte et recevoir des soins; une grande partie de cette démarche consiste à rencontrer la personne au point où elle en est dans son cheminement dans les soins de santé. L’EMNO m’a très certainement préparée pour cela. »

La Dre Goodman pense que l’accent de l’EMNO sur la culture lui a très bien fait comprendre que la culture est unique et l’a aidée à appliquer des stratégies pour prodiguer de meilleurs soins. Les nuances de ces leçons s’appliquent directement à son exercice. : « À l’EMNO, j’ai appris les concepts fondamentaux qui sont de ne pas avoir de présomptions, d’être prêt à se renseigner sur une culture et de ne pas avoir peur de poser des questions. C’est important dans l’exercice, et je pense que ça a été très utile de l’apprendre tôt. »

« C’est toujours avec humilité que je rencontre nos patients, ils m’apprennent toujours quelque chose. Par exemple, nous n’avions pas de miroirs dans nos salles d’examen clinique. Étant donné que beaucoup de nos patientes portent le hijab, un miroir leur est utile pour le remettre. C’est important car elles ne peuvent pas quitter la pièce sans lui. Des leçons comme celles-ci surgissent sans cesse, et elles vous rendent humble ». Je pense qu’elles nécessitent une bonne approche pour poser des questions et qu’il faut être prêt à apprendre. »

Deux choses tiennent cette jeune médecin occupée : assurer l’équilibre entre sa jeune famille et ses fonctions d’hospitaliste et de préceptrice pendant une pandémie, et « la population que nous servons et l’environnement magnifiquement favorable au centre. J’ai l’impression de faire de la médecine utile quotidiennement ».

À la lumière des leçons qu’elle a apprises, elle s’efforce d’enseigner à la population étudiante en médecine de l’EMNO les valeurs clés qui sont « de faire simplement de notre mieux pour aider les personnes que nous pouvons aider, et l’importance de pouvoir offrir un environnement sécuritaire où tout le monde peut accéder à des soins de qualité ».

 

 

2021 : Une année consacrée au climat et à la justice sociale

Jusqu’à présent, 2021 a commencé sur un sujet politique brûlant, à la fois pour nos voisins américains et pour l’Ontario avec son nombre croissant de cas de COVID-19. Pourtant, ici dans le Nord de l’Ontario, avec les vaccinations à l’horizon, cette nouvelle année laisse entrevoir la fin (mais pas l’éradication) de la COVID-19 en tant que pandémie. Nous pouvons songer à la reprise des relations en personne avec les proches et, espérons-le, à la reprise des activités universitaires et commerciales. Nous faisons le point et planifions de nouvelles actions pour nous améliorer et mieux servir nos communautés. Cette année, notre résolution pourrait être de réévaluer le sens du mot « normal » et de déterminer si nous devons aller de l’avant après avoir tiré de précieuses leçons en 2020.
En moyenne, chacun d’entre nous prend deux résolutions au Nouvel An. De Thunder Bay à Sudbury, de Toronto à Vancouver, il existe des similitudes intéressantes. Les deux résolutions les plus courantes sont de perdre du poids et faire de l’exercice physique, et d’arrêter l’alcool ou les cigarettes. Tout le monde souhaite s’améliorer et atteindre un objectif plus élevé. Le premier jour de l’année, les gens prennent leurs valeurs plus au sérieux. J’aime les nouveaux départs. C’est une excellente façon de se débarrasser de tout ce qui a pu nous tirer vers le bas, de se remettre des erreurs que nous avons commises et de commencer quelque chose dans un nouvel esprit et avec une forte dose de positivité. Voici donc cinq grandes idées sur la façon dont je veux faire avancer l’EMNO en 2021.

1.      Promouvoir la justice sociale

La justice est le concept de l’équité. La justice sociale est l’équité telle qu’elle se manifeste dans la société. Cela inclut l’équité dans les soins de santé, l’emploi, le logement, etc. La discrimination et la justice sociale ne sont pas compatibles. La justice sociale dépend de quatre objectifs essentiels : les droits de la personne, l’accès, la participation et l’équité. Il ne peut pas y avoir de justice sociale sans ces quatre principes. N’ayez pas peur d’engager des conversations avec vos proches, vos collègues et vos amis. Les micro-agressions qui peuvent apparaître sous forme de blagues ou de déclarations racistes perpétuent et normalisent les préjugés et les partis pris. N’oubliez pas que le fait de ne rien dire ou de rire avec les autres laisse sous-entendre que vous êtes d’accord. N’oubliez pas que toutes les formes d’oppression sont liées. Vous ne pouvez pas lutter contre une forme d’injustice et ne pas lutter contre d’autres. Je pense que cela est évident dans les troubles politiques que nous observons. Maintenant, plus que jamais, je me réjouis que nous vivions dans un pays qui tente de remédier aux iniquités de notre société.

2.      Réformer le programme d’études

Les écoles de médecine s’efforcent d’incarner l’innovation, et les plus expérimentées cherchent à se conformer aux principes actuels de l’éducation des adultes, aux besoins de la société, à la nature changeante des soins de santé et à la manière dont la population étudiante actuelle apprend le mieux. Cette année, nous nous poserons les questions suivantes : Qu’est-ce qui devrait inciter une école de médecine à modifier un programme d’études (qu’il s’agisse d’une réforme de l’ensemble du programme ou d’une réforme d’un cours en particulier)? Comment un tel changement devrait-il être effectué? Quels types de paradigmes peuvent inspirer un tel changement? Qu’est-ce qui constitue un succès dans la réforme des programmes d’études? Et comment évaluer la réforme des programmes dans un délai raisonnable? Cette année, nous explorerons un nouveau programme d’études conçu pour l’avenir et qui inclut l’équité, le changement environnemental, la médecine numérique et virtuelle et davantage d’enseignement hors de la salle de classe.

3.      Adopter une nouvelle culture de bonté, de respect et de professionnalisme

Pendant la pandémie, nous avons été très stressés. Aujourd’hui plus que jamais, une atmosphère positive est importante pour notre bien-être physique et mental. Comme Ésope l’a dit : « aucun acte de bonté, si petit soit-il, n’est jamais perdu ». Cette année, alors que nous commençons à revenir dans un monde libéré de toute distanciation physique, je vous encourage à accomplir des actes aléatoires de bonté. La bonté est contagieuse et conduit à des comportements plus coopératifs chez les autres. Nous ajoutons le Code de respect aux ressources de l’EMNO et souscrivons à la Charte de l’Okanagan pour intégrer le bien-être dans tous les aspects de l’éducation et du travail à l’École. Notre école de médecine s’efforcera d’incarner la bonté dans tout ce qu’elle fait. Nous vous demandons de vous respecter les uns les autres et d’être les vrais professionnelles et professionnels que le système de santé exige.

4.      Transiger avec le changement climatique

Les meilleurs scientifiques du monde nous disent que pour défaire les scénarios les plus extrêmes du changement climatique, 2021 doit être l’année d’une action climatique coordonnée et globale. Mais nous avons beaucoup de travail à faire pour en arriver là. La bonne nouvelle, c’est que la dynamique mondiale autour du changement climatique s’intensifie. Le nombre de Canadiennes et Canadiens qui sont aujourd’hui « alarmés » ou « préoccupés » par le changement climatique a doublé au cours des cinq dernières années. Des centaines de milliers de personnes de tous horizons, y compris la population étudiante, le corps enseignant, des communautés religieuses et les membres des professions de la santé, descendent dans la rue pour exiger des mesures en faveur du climat. Cette année, j’espère que le Groupe de travail de l’EMNO sur le changement climatique nous montrera la voie pour aborder le changement climatique dans nos programmes, nos politiques et nos infrastructures.

5.      S’enthousiasmer, se passionner et avoir des idées nouvelles et dangereuses

« Une idée qui n’est pas dangereuse ne mérite pas d’être appelée une idée » – Oscar Wilde. Mais, ne me prenez pas au pied de la lettre. Je ne préconise pas d’actions illégales ou dangereuses. Je crois que pour faire naître la créativité, une nouvelle idée doit catalyser l’innovation. En d’autres termes, ne nous accrochons pas à la « façon dont cela a toujours été fait ». L’EMNO est encore une jeune école et la tradition ou l’aversion pour le risque ne devrait pas la freiner facilement. L’innovation ne vient pas en suivant le courant dominant ou en gardant le statu quo. L’innovation consiste à créer du changement, à découvrir et à examiner de nouvelles idées; à envisager de manière réfléchie des idées peu ordinaires ou la réflexion à l’envers et à employer des méthodes qui peuvent sembler à première vue saugrenues, non conventionnelles, voire sauvages. Cette année, j’espère réunir des personnes de tous les secteurs de l’EMNO et leur offrir la liberté et la souplesse nécessaires pour partager et discuter d’idées « dangereuses » dans un environnement sûr.

Bien sûr, le grand catalyseur de changement en 2021 dont on se souviendra et qui aura le plus d’impact est le mot qui commence par un V : vaccination. Tout le monde, s’il vous plaît, faites-vous vacciner dès que l’occasion se présentera.

Je vous invite à continuer de suivre mon voyage sur Twitter @ddsv3 .

Je recevrai volontiers les commentaires sur ce blogue et d’autres sujets que vous désirez porter à mon attention à dean@nosm.ca.


Réservez la date du prochain webinaire de l’École

Nous organiserons un de nos prochains webinaires réguliers pour toute l’École le mardi 26 janvier 2021 à 8 h. Des mises à jour sur la COVID-19 et d’autres sujets importants à l’École seront présentées.


Nous cherchons des vaccinatrices et vaccinateurs

L’EMNO et Ornge (Ontario Air Ambulance Corporation) s’allient pour déployer la vaccination dans les Premières Nations isolées du Nord de l’Ontario. Des plans sont en préparation pour commencer le déploiement des équipes de vaccination d’ici la mi-février. Nous vous saurions gré de vous porter volontaire pour participer au lancement de la vaccination. Nous cherchons des volontaires pour se joindre aux équipes de vaccination qui se déplaceront en avion, notamment des étudiantes et étudiants en médecine, des résidentes et résidents, du personnel clinique et des diplômées et diplômés. Nous encourageons les personnes ayant une expérience de la prestation de soins dans les communautés autochtones à poser leur candidature.  L’EMNO cherchera également bientôt des volontaires pour participer à la vaccination de la population en général en partenariat avec les unités de santé publique de la région.

*Vérifiez vos messages de l’EMNO pour avoir les détails qui seront envoyés au cours des prochaines semaines.


Le Dr Hirvi lauréat du Certificat de mérite de l’ACEM

Félicitations au Dr Ed Hirvi, lauréat du Certificat de mérite de 2021 de l’Association canadienne pour l’éducation médicale (ACEM). Le Dr Hirvi est codirecteur de la section de médecine familiale de l’EMNO. Ce prix récompense des membres du corps professoral dévoués à la cause de l’éducation médicale dans les facultés de médecine du Canada. Nous vous sommes très reconnaissants de tout ce que vous faites à l’EMNO!


Symposium sur la santé des femmes

Joignez-vous à nous pour le premier symposium virtuel sur la santé des femmes du Nord-Est qui aura lieu les 22 janvier et 16 avril 2021. Il y sera notamment question de la gestion de la dysménorrhée et de l’endométriose, des tests prénataux non invasifs, du dépistage du cancer du col de l’utérus pendant une pandémie, des saignements utérins anormaux et de la santé vulvaire.

La conférence s’adresse aux médecins de famille, aux spécialistes, à la population étudiante en médecine et aux membres des professions paramédicales qui s’intéressent à la santé des femmes. Inscrivez-vous ici.


Inscrivez-vous à Northern Lights 2021

« Daring Leadership in Difficult Times » (Le leadership audacieux en période difficile) est le thème de Northern Lights 2021: Forum pan-nordique mettant en vedette deux grands chefs de file de la médecine au Canada, les Dres Jane Philpott et Gigi Osler, les 25 et 26 février. Ensemble, nous explorerons le leadership audacieux dans un monde en évolution constante et imprévisible. Osez vous lancer dans des conversations difficiles avec courage et empathie. Osez appuyer la diversité dans le leadership, l’équité et l’inclusion dans vos équipes, avec vos collègues et à l’EMNO. Inscrivez-vous ici.

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