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L’espoir est à toute épreuve : À l’EMNO, nous avons de l’espoir

Une rencontre d’urgence sur l’élimination du racisme que connaissent les Autochtones dans les systèmes de soins de santé du Canada, organisée par Services aux Autochtones Canada, a récemment réuni près de 400 personnes. Cette rencontre profondément influente fait suite aux vidéos sur le racisme subi par Joyce Echaquan qui désirait obtenir des soins avant son décès.

Beaucoup d’intervenants ont souligné l’omniprésence du racisme dans nos systèmes de soins de santé et de formation en santé. Les témoignages les plus poignants ont été ceux de la famille de Joyce Echaquan. Beaucoup de chefs de file autochtones, de médecins autochtones, d’étudiantes et étudiants en médecine, de membres du personnel infirmier et d’autres professions de la santé se sont exprimés éloquemment. Certaines de ces personnes venaient de l’EMNO, y compris la Dre Kona Williams, professeure adjointe à l’EMNO, et la Dre Lana Potts, diplômée de la toute première classe de l’EMNO.

Les récits de racisme subi lors de la prestation des soins sont perturbants et inacceptables. Beaucoup d’entre eux sont profonds, navrants et malheureusement vrais. Qu’il s’agisse de Brian Sinclair ou de Joyce Echaquan, en passant par Barbara Kentner dont les dossiers de santé personnels ont récemment été utilisés comme preuves pour retracer son décès, il est clair que nous devons lutter contre le racisme à tous les niveaux.

Un autre point fort préoccupant pour notre école de médecine est le racisme subi dans la formation en médecine. Une étude publiée dans le JAMA Internal Medicine, menée auprès de plus de 27 500 étudiantes et étudiants en médecine en 2016‑2017, a révélé que 38 pour cent de la population étudiante du pays provenant de groupes raciaux et ethniques qui sont sous-représentés en médecine ont déclaré des mauvais traitements, y compris des Noirs, des Latino-américains et des Autochtones. Par comparaison, seulement 24 pour cent des Blancs de tous les États-Unis ont dit avoir été maltraités pendant leurs études de médecine. Un rapport de l’Association des médecins autochtones du Canada (AMAC) fait aussi état de l’affreux racisme et de l’intimidation subis par les étudiantes et étudiants autochtones en médecine pendant leurs études.

Au cours d’un clavardage récent, 48 étudiantes et étudiants de couleur se sont joints à moi pour une conversation ouverte où certains ont relaté des expériences bouleversantes à l’école de médecine. Ce que j’ai entendu lors de cette séance sont des exemples très clairs de racisme manifeste. Le type de mauvais traitements et d’humiliation que des membres de notre population étudiante ont connu n’aurait jamais dû exister et doit cesser. Plus gênant encore, nous avons vu des médecins et même des étudiantes et étudiants parmi nous qui ont (sous le prétexte de la liberté d’expression) exprimé des opinions qui sont tout simplement inacceptables pour nous et nos valeurs, et pourtant nous avons négligé de les aborder. Et bien…plus maintenant.

Un système de santé avec une culture de qualité est sécuritaire, efficace, centré sur le patient, rentable, équitable et offre des services en temps voulu. Qualité des services de santé Ontario a adopté ces six dimensions, décrites par l’Institute of Medicine, dans son cadre général de travail présenté dans son rapport intitulé La qualité ça compte : Réaliser l’excellence des soins pour tous.

Pour avoir un système de santé qui fonctionne et valorise l’équité, la diversité et l’inclusion, nous devons tous avoir une approche intersectorielle et connectée et arrêter de travailler en silos.

Les iniquités en santé sont le fruit de la pauvreté, du racisme structurel et de la discrimination. Les systèmes de santé ne sont qu’un pignon de la roue de l’iniquité en santé, mais le rôle qu’ils jouent dans le problème est grand. L’EMNO prônera des mécanismes intrapersonnels, interpersonnels, institutionnels et systémiques (c.-à-d., les iniquités structurelles) qui organisent différemment la distribution du pouvoir et des ressources sur les fronts de la race, du genre, de la classe, de l’orientation sexuelle, de l’expression du genre et d’autres dimensions de l’identité individuelle et collective. Nous nous attendons à ce que les systèmes de santé règlent l’allocation inégale du pouvoir et des ressources, y compris, les biens, les services et l’attention sociétale, qui se manifeste dans des conditions sociales, économiques et environnementales inégales (c.-à-d., les déterminants de la santé).

Nous devons admettre que les minorités raciales et ethniques de la société sont disproportionnellement touchées par la mauvaise qualité des soins. Nous devons aussi admettre qu’il existe des différences raciales et ethniques dans l’accès aux soins, pour les bénéficiaires des soins et des technologies salvatrices. La façon dont les soins sont offerts et reçus n’est pas seulement déterminée par des facteurs systémiques ou le comportement individuel des médecins; il est prouvé que la race ou l’ethnicité d’un patient influence la façon dont un médecin interprète les plaintes des patients et, en fin de compte, la prise de décision clinique, par exemple l’orientation d’une personne vers des traitements ou interventions particuliers.

L’EMNO emploie cinq moyens pour faire de l’équité en santé une stratégie de base :

  1. C’est une priorité commandée par les dirigeants où en tant que chefs de file des soins, nous articulons, mettons en œuvre et intégrons la vision dans nos valeurs.
  2. Nous établissons des structures et processus qui appuient l’équité : le nouveau doyen associé responsable de l’équité et de l’inclusion, le mouvement Respecte la différence, un engagement envers le renouvellement du programme d’études, et la réforme de nos processus d’admission pour y intégrer l’équité, la diversité, l’inclusion ainsi que l’accessibilité des études en médecine.
  3. Nous prenons des mesures précises visant les déterminants sociaux de la santé qui incluent les réalités des Autochtones, des Noirs et des francophones, et répondons aux appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation pour lesquels nous avons beaucoup de travail à faire.
  4. Nous confrontons le racisme au sein de notre organisation pour relever, traiter et démanteler les structures, politiques et normes qui perpétuent un avantage fondé sur la race. Nous protégerons notre population étudiante, notre personnel et notre corps professoral contre le racisme.
  5. Nous nous allions avec des communautés et des organismes socialement responsables qui mènent le mouvement de justice sociale avec des mesures du succès.

C’est une période critique pour le changement auquel l’EMNO collabore, qu’elle facilite et dirige fièrement. En tant qu’école de médecine, nous sommes conscients de l’importance de l’équité, de la diversité et de l’inclusivité en médecine ainsi que de la force et de l’innovation qui en découlent, et nous instaurerons résolument une culture de lutte contre le racisme à tous les niveaux de l’École.

Joignez-vous à moi et renseignez-vous sur le site Web Respecte la différence.

Merci, miigwetch, thank you à tous.


Je vous invite à continuer de suivre mon voyage sur Twitter @ddsv3 en utilisant #OùestDreVerma.

Je recevrai volontiers les commentaires sur ce blogue et d’autres sujets que vous désirez porter à mon attention à dean@nosm.ca.


Possibilités d’apprentissage

Les webinaires Indigenous Cultural Safety Learning Series fournissent une tribune pour aborder un veste éventail de questions sur l’expérience et l’interaction des Autochtones avec les systèmes (c.-à-d., de santé, de justice, d’éducation et de bien-être des enfants). En plus d’encourager un dialogue intéressant et pertinent, la série encourage la réflexion critique en regroupant des personnes pour examiner des questions de justice sociale et s’engager dans l’enquête critique. Les webinaires sont interactifs par concept et fournissent un lieu fort nécessaire pour aborder et naviguer dans la nature complexe du racisme et de la discrimination visant particulièrement les Autochtones, tout en prônant la défense de leurs intérêts et le renforcement de leur pouvoir.

Le programme Hearing Our Voices, An Indigenous Women’s Reproductive Health Curriculum vise à amener les femmes autochtones à communiquer elles-mêmes leur expérience aux résidentes et résidents et à d’autres membres des professions de la santé et paramédicales qui s’occupent de la santé en matière de reproduction.

    

   


Mardi, je donne

Beaucoup d’entre nous sont passés par là : une crise soudaine surgit et nous ne savons pas si nous pourrons payer le loyer, le service Internet ou l’épicerie. Cette pandémie a créé ce défi pour beaucoup de nos étudiantes et étudiants. Avec 92 p. 100 de notre population étudiante en médecine qui reçoit de l’aide financière, elle a besoin d’aide quand des urgences familiales, des difficultés personnelles et des dépenses imprévues surviennent. Sans aide, les conséquences pour sa santé mentale et le rêve de devenir médecin peuvent être désastreuses. Le Fonds d’urgence pour la population étudiante aide les étudiantes et étudiants qui n’ont pas d’autres recours. Cette année encore, notre partenaire, MNP, doublera votre don en en versant la contrepartie jusqu’à concurrence de 5 000 $! Cela signifie qu’il aura encore plus d’effet sur la vie de notre population étudiante. Donnez aujourd’hui.


Visite pour l’agrément en décembre

L’agrément de la formation en médecine au premier cycle se poursuit avec la prochaine visite virtuelle de l’équipe du CAFMC le 4 décembre 2020. Plusieurs points seront abordés dans des réunions spécifiques avec des étudiantes et étudiants de l’EMNO, les doyens responsables de la formation et des dirigeants. Nous ne recevrons pas notre lettre de transmission avant juin 2021, mais nous devrions avoir des commentaires sur la visite au début de la nouvelle année.


Webinaire pour toute l’École en décembre

Il y aura une mise à jour sur la pandémie et un webinaire saisonnier pour toute l’École le mardi 15 décembre 2020 de 8 h à 8 h 30. La population étudiante, le corps professoral et le personnel recevront un message contenant l’invitation. En attendant, ne perdez pas votre dynamisme. Je sais que cette dernière « poussée » et les défis courants des mesures prolongées de santé publique nous épuisent toutes et tous. Prenez bien soin de vous et communiquez avec nous si la situation devient plus difficile. Nous avons sincèrement votre bien-être à cœur.



L’EMNO annonce la nomination du Dr Edward Hirvi comme codirecteur de la Section de médecine familiale (Ouest)

L’École de médecine du Nord de l’Ontario a nommé le Dr Edward Hirvi comme codirecteur de la Section de médecine familiale à partir du 1er décembre 2020. Le Dr Hirvi assume de nombreuses fonctions dans le domaine de la médecine. Il fait partie du corps professoral de l’EMNO depuis janvier 2009 et est actuellement au rang de professeur agrégé. Installé à Sault Ste. Marie, il est médecin de famille au Group Health Centre de cette ville, coprésident de la Northern Ontario Academic Medicine Association, et président de la Physician Clinical Teachers’ Association. Félicitations Dr Hirvi! Un merci spécial à la codirectrice, la Dre Barb Zelek, pour son leadership et son engagement dans cette fonction. La Dre Zelek a pris son nouveau poste de chef de la Division des sciences cliniques le 1er septembre 2020. La Dre Anjali Oberai demeure codirectrice de la Section de médecine familiale (Est).


L’EMNO annonce la nomination du Dr Edward Hirvi comme codirecteur de la Section de médecine familiale (Ouest)

L’École de médecine du Nord de l’Ontario a nommé le Dr Edward Hirvi comme codirecteur de la Section de médecine familiale à partir du 1er décembre 2020. Le Dr Hirvi assume de nombreuses fonctions dans le domaine de la médecine. Il fait partie du corps professoral de l’EMNO depuis janvier 2009 et est actuellement au rang de professeur agrégé. Installé à Sault Ste. Marie, il est médecin de famille au Group Health Centre de cette ville, coprésident de la Northern Ontario Academic Medicine Association, et président de la Physician Clinical Teachers’ Association. Félicitations Dr Hirvi! Un merci spécial à la codirectrice, la Dre Barb Zelek, pour son leadership et son engagement dans cette fonction. La Dre Zelek a pris son nouveau poste de chef de la Division des sciences cliniques le 1er septembre 2020. La Dre Anjali Oberai demeure codirectrice de la Section de médecine familiale (Est).

Notre Stratégie de renforcement du corps médical : solutions de l’EMNO

Une grave pénurie de médecins menace l’Ontario en raison de plusieurs facteurs importants qui étaient certes présents avant la pandémie de COVID-19, mais celle-ci a grandement exacerbé la situation. Voici quelques raisons de cette pénurie :

  1. Perturbations pour les médecins nouvellement diplômés qui se destinent à l’exercice indépendant (il existe des permis provisoires mais ils sont au point mort en raison du report des examens);
  2. Retraite anticipée de certains médecins à cause de la COVID-19 ou de changements de la portée de leur exercice due à de lourdes charges de travail;
  3. Difficulté constante à recruter et retenir des médecins dans les communautés rurales, du Nord, autochtones et francophones et pour les populations sous-représentées;
  4. Nombre insuffisant de places en résidence en Ontario, ce qui entraîne une migration nette hors province de médecins nouvellement diplômés;
  5. Certains médecins réduisent la taille de leur cabinet afin de gérer efficacement les besoins grandissants de la population, en particulier des personnes qui ont des maladies chroniques complexes.

Le manque de médecins pour les populations traditionnellement insuffisamment desservies et vulnérables est un défi permanent. La pandémie actuelle surcharge le système actuel déjà fragile et a aggravé les inquiétudes concernant la durabilité de la prestation des soins. Des domaines particuliers, comme la santé mentale, la santé publique, les soins de longue durée et les soins aux personnes âgées, sont particulièrement touchés.

La pandémie a en outre mis en lumière pour le Conseil des facultés de médecine de l’Ontario (CFMO) le besoin urgent d’une réévaluation du pipeline de la main-d’œuvre et de la mise en œuvre complète de nouveaux moyens de mieux répartir les médecins dans la province. Les six écoles de médecine conviennent que nous devons concilier d’urgence les besoins démographiques de la province, les modèles d’exercice du médecin moderne et les futurs besoins des communautés en matière de santé.

Le modèle actuel de planification n’est pas assez souple pour s’adapter aux crises et aux perturbations majeures comme la pandémie de COVID-19. Le système demeure fragile et instable dans de nombreuses communautés et on prévoit que ce sera aussi le cas dans d’autres en raison du vieillissement et du départ à la retraite de la main-d’œuvre médicale et de la demande accrue de soins. En plus, il faut en même temps former dans les communautés du Nord les étudiantes et étudiants de l’EMNO qui doivent acquérir les compétences nécessaires pour l’exercice clinique. Par conséquent, le CFMO a présenté une proposition pour augmenter les places au premier cycle et au niveau postdoctoral dans toutes les écoles de médecine afin d’augmenter le nombre de médecins en Ontario. L’EMNO participe pleinement à cette proposition.

Une main-d’œuvre médicale imprévisible et fragile dans le Nord

Aujourd’hui, notre main-d’œuvre médicale est imprévisible et fragile car de nombreux cliniciens et cliniciennes sont à la veille de prendre leur retraite (main-d’œuvre médicale vieillissante) ou de se retirer de certains services, y compris l’enseignement, un élément essentiel du modèle régionalisé de l’EMNO, car ils continuent d’avoir insuffisamment de ressources, sont dépassés et peuvent uniquement se concentrer sur les besoins immédiats des patients. Cette situation s’est aggravée à cause des nouvelles obligations cliniques des médecins dues à la COVID-19. Les médecins restants dans la main-d’œuvre médicale du Nord sont très inquiets et craignent que le Nord de l’Ontario ne connaisse la même crise que celle qui existait lors de l’examen original des besoins qui a donné lieu aux recommandations il y a 20 ans.

À l’heure actuelle, les chiffres suivants caractérisent la pénurie/les postes vacants de médecins dans le Nord de l’Ontario :

  • > 100 médecins de famille, surtout des généralistes ruraux;
  • > 100 spécialistes dans les cinq hôpitaux urbains du Nord, mais aussi dans de grandes communautés rurales comme Sioux Lookout et Kenora.

En outre, selon l’étude récente menée par le Centre de recherche en santé dans les milieux ruraux et du Nord, on estime que jusqu’à 50 p. 100 des cliniciennes et cliniciens ruraux s’attendent à prendre leur retraite au cours des cinq prochaines années.

Par rapport à la population d’autres régions de la province, celle du Nord a :

  • une espérance de vie inférieure (de deux ans en moyenne)
  • davantage de difficulté à accéder en temps opportun à des soins primaires
  • un plus lourd fardeau de troubles chroniques complexes
  • un plus lourd fardeau de maladie mentale et de toxicomanies

Nous y travaillons

Nous nous concentrons sur la conception des meilleurs programmes de résidence. Nous lançons de nouveaux parcours, notamment le parcours de généraliste rural. Ce parcours se veut une voie à plusieurs points d’entrée, depuis l’école secondaire jusqu’à la formation postdoctorale, qui aboutit à une carrière clinique et universitaire attrayante dans une communauté rurale, avec un bon soutien sous forme de contrats intéressants et de ressources administratives, et idéalement, un poste dans le corps professoral qui reconnaît la portée du rôle de généraliste rural.

Le corps professoral de généralistes ruraux de l’EMNO recevra du soutien pour « s’associer » de manière à appuyer le mentorat, le leadership et la résilience dans la communauté clinique rurale du Nord de l’Ontario. Nous sommes profondément engagés dans la promotion du recrutement et du maintien en poste des médecins avec nos hôpitaux et centres universitaires des sciences de la santé partenaires. Notre plan stratégique met l’accent sur notre principal mandat, l’orientation stratégique Transformer la planification des ressources humaines en santé qui signifie que nous travaillons pour recueillir de meilleures données pour déterminer les « besoins de la population du Nord de l’Ontario » et les meilleurs moyens d’aligner la production de médecins qui exerceront dans les régions dans le besoin. La réforme de notre processus et de nos critères d’admission, ainsi que la réforme du programme d’études et l’amélioration de l’engagement des communautés sont des projets précis pour améliorer notre réussite à cet égard.

En tant que stratégie gouvernementale, l’EMNO est une réussite et a de toute évidence fait une différence dans le Nord de l’Ontario. Mais nous pouvons faire mieux et sommes bien placés pour le faire. Consultez notre nouveau plan stratégique.

Merci, miigwetch, thank you à tous.


Je vous invite à continuer de suivre mon voyage sur Twitter @ddsv3 en utilisant #OùestDreVerma.

Je recevrai volontiers les commentaires sur ce blogue et d’autres sujets que vous désirez porter à mon attention à dean@nosm.ca.


Le saviez-vous?

Par rapport à d’autres pays membres de l’OCDE, le Canada fait partie de ceux qui ont le plus petit nombre de médecins en exercice par millier d’habitants, ce qui le met à la 29e place sur 33, avec un ratio de 2,74/1 000 par rapport à la moyenne mondiale de 3,5/1 000. Au Canada, l’Ontario est 8e sur 12 provinces et territoires pour le nombre de médecins par habitant. Actuellement, plus de 1,3 Ontariennes et Ontariens n’ont pas encore accès régulièrement à des soins primaires (Statistique Canada, 2016).



Le saviez-vous?

La Dre Sarah McIsaac, directrice médicale à l’EMNO, Perfectionnement du corps professoral, s’est alliée avec l’École pour l’initiative Crazy Socks for NOSM Docs. En faisant un don de 20 $ ou plus, vous recevrez une paire de « chaussettes délirantes » et nous aiderez à concevoir des programmes et du soutien visant spécialement le corps professoral de l’EMNO. Ces derniers mois ont été difficiles pour tout le monde, et la Dre McIsaac pense qu’il est important de créer un réseau de soutien et d’inclusivité.


Le saviez-vous?

Si vous cherchez un médecin de famille, voici quelques conseils :
Comment trouver un médecin de famille, une infirmière praticienne ou un spécialiste, et de l’information sur le programme Accès Soins.

  1. Inscrivez-vous à Accès Soins et demander à une infirmière de vous trouver un médecin ou une infirmière praticienne.
  2. Utilisez la fonction Doctor Search du College of Physicians and Surgeons of Ontario et choisissez « Advanced Search » (recherche avancée) pour trouver un médecin près de chez vous (par ville ou code postal).

De plus, la Dre Sarah Newbery (doyenne adjointe, Stratégie de renforcement du corps médical et ancienne présidente de l’Ontario College of Family Physicians) recommande le document intitulé We’re Your Family Doctors, un outil pour comprendre comment assurer l’accès à votre médecin de famille si vous en avez un, ou, si vous n’en avez pas, pour trouver d’autres moyens d’obtenir des soins.


Le saviez-vous?

Une réunion virtuelle d’experts portera sur les avantages d’embaucher une adjointe ou un adjoint au médecin pour vous épauler ainsi que sur la façon de devenir un partenaire clinique et d’offrir des stages pour le programme de formation des adjointes et adjoints aux médecins. À l’ère de la COVID-19 et des ressources en santé étirées aux maximum, le groupe d’experts inclura des médecins qui ont supervisé des étudiantes et étudiants de ce programme et les ont embauchés par la suite. Le moment n’a jamais été aussi bien choisi pour ajouter cette précieuse ressource à votre équipe.
Mercredi 2 décembre 2020
17 h – 18 h HNE
RSVP ici.
Consultez nosm.ca/pa pour en savoir davantage.


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