Bienvenue dans le nouveau site Web de l’EMNO. Même si nous sommes en train de créer un site complètement bilingue, veuillez noter que seulement certaines pages existent en français en ce moment.
L’École de médecine du Nord de l’Ontario (EMNO) cherche des bénévoles pour siéger à son Groupe consultatif francophone (GCF) : une résidente ou un résident francophone de l’EMNO provenant de n’importe quelle communauté du Nord de l’Ontario et un membre francophone d’une communauté du Nord-Ouest de l’Ontario.
Le Groupe consultatif francophone fait partie intégrante de l’École de médecine du Nord de l’Ontario. Ce comité multidisciplinaire conseille la doyenne sur toutes les initiatives pertinentes concernant et prônant la santé des francophones. Les sujets traités incluent le soutien au corps étudiant, au corps professoral, la recherche, l’éducation et les partenariats. Le GCF fournit d’importants conseils sur les activités et les priorités de l’École.
À titre de bénévole, la personne choisie aura un mandat de trois ans et les fonctions suivantes :
Fournir des perspectives, des orientations et des conseils à la doyenne.
Contribuer à la responsabilité sociale de l’EMNO envers les gens et communautés du Nord de l’Ontario.
Veiller à ce que les intérêts des francophones continuent d’être reflétés précisément dans l’orientation de l’École.
Surveiller et évaluer la mise en œuvre des priorités stratégiques du GCF qui s’alignent sur le plan stratégique de l’EMNO.
Assister aux réunions trimestrielles du GCF.
Les personnes intéressées doivent fournir une lettre de couverture indiquant leur intérêt à siéger au GCF ainsi que leur curriculum vitae le lundi 4 janvier 2021 au plus tard.
Veuillez transmettre les candidatures, les demandes de renseignements et les expressions d’intérêt à :
Je continue ma tradition de partager des rires et des leçons qu’apportent les films des fêtes. Maintenant qu’il y a un peu de neige dans le Nord de l’Ontario, l’atmosphère est festive. À l’approche des fêtes, c’est le bon moment de se retrancher et de se laisser gagner par l’envie de regarder des films de circonstance. À mon avis, même les mauvais films sont assez étonnants. Étant donné que la plupart d’entre nous resterons chez nous cette année à cause de la pandémie, pourquoi ne pas mettre un peu plus de gaîté avec des films qui soulignent aussi les réalisations de l’EMNO.
Dans ce charmant film, Cameron Diaz joue le rôle d’une rédactrice de bande-annonce de films névrosée et Kate Winslet celui d’une journaliste britannique qui décide d’échanger sa maison peu avant Noël. Le personnage de Winslet se retrouve à Los Angeles où elle se lie d’amitié avec un scénariste vieillissant, mais (ne vendons pas la mèche!) elle finit par tomber amoureuse d’un compositeur au grand cœur joué par Jack Black. Pendant ce temps, le personnage de Diaz se retrouve à Surrey, en Angleterre, où elle se lie involontairement avec le frère du personnage de Winslet joué par Jude Law. Le film a un côté comédie-romantique, mais il a aussi un charme indéniable, est propice à la sieste et inspire le bonheur, alors que quatre belles personnes surmontent les obstacles ridiculement petits qui les empêchent de se réunir dans deux environnements photogéniques. Il s’agit essentiellement d’une bulle de deux personnes en devenir dans chaque pays – comme les deux campus principaux de l’EMNO à Thunder Bay et à Sudbury.
A l’approche de Noël, tout ne va pas pour le mieux pour David Niven, un évêque protestant qui tente de recueillir des fonds pour la nouvelle cathédrale de ses rêves, un projet qui l’a conduit à négliger sa femme, Julia (Loretta Young) et sa fille. Le projet de cathédrale lui fait perdre de vue ses racines en tant que ministre des personnes dans le besoin. C’est alors qu’entre en scène Dudley (Cary Grant), un ange déterminé à remettre Henry dans le droit chemin. Le seul problème est qu’il a de plus en plus envie de passer du temps avec Julia à la place. La chimie entre Young et Grant adoucit certains passages chaotiques où les choses n’ont pas de sens, comme comment un ange peut-il tomber amoureux? La femme du pasteur, le remake de 1996 mettant en vedette Denzel Washington et Whitney Houston, est une bonne alternative à cette version très monochromatique. Les deux films me rappellent les anges de l’EMNO dans cette pandémie : les fabricants de masques, les étudiantes et étudiants qui rassemblent de l’EPI et les aides qui font les courses pour les travailleuses et travailleurs de première ligne. Félicitations à tous.
Peu de films ont été acclamés et rejetés, puis rejetés et acclamés, avec la férocité de ce mélange des fêtes de 2003 de nouvel amour, d’ancien amour, d’amour politique et d’amour coquin. C’est très cliché, mais à chaque fois qu’il passe, je laisse tout tomber et je le regarde. Je l’ai vu 20 fois. Attendez l’histoire d’infidélité mettant en vedette Alan Rickman et Emma Thompson, ou encore, la performance quintessentielle de Bill Nighy en tant que rock star délaissée qui reprend une vieille chanson pour en faire un chant de Noël. Et il y a bien sûr, le divin Hugh Grant qui se trémousse sur la chanson Jump en « bobettes » blanches. Le meilleur dans tout cela est la séquence où Andrew Lincoln utilise des pancartes pour dire à la femme de son meilleur ami qu’il l’aime. Cet assortiment de situations me fait penser aux nombreuses histoires de bonheur, de tristesse, de défis et de victoires dans toutes les unités de l’EMNO. L’agrément de la FMPC remporte le prix cette année pour les hauts, les bas, les changements rapides, les défis et les victoires.
Oui, c’est l’un des meilleurs films d’action. Oui, il était sur ma liste l’année dernière. Oui, on peut le citer à l’infini. Et oui, il a transformé Bruce Willis en une grande star de cinéma. Croyez-le ou non, c’est un film des fêtes. Le flic new-yorkais John McClane doit sauver une grande entreprise de L.A. et, pieds nus, il abat une bande de pseudo-terroristes européens qui ont pris sa femme et ses collègues en otages lors de la pire réception des fêtes. Die Hard pourrait être le thème de 2020 de l’EMNO, peu importe ce qui nous est tombé sur la tête cette année, comme John McClane, nous avons survécu et trouvé le moyen de remonter la pente ! Yippee Ki Yay EMNO!
Sur le papier, cela peut sembler idiot, mais en réalité, Elfe est une pure magie des fêtes, surtout si vous aimez la marque particulière de Will Ferrell, la comédie burlesque surréaliste. Elle est basée sur l’histoire d’un bébé humain qui est élevé dans le monde magique de l’atelier du Père Noël. Elfe mise sur le côté homme-enfant de Ferrell avec un style délicieux alors qu’il quitte le confort de la maison de son enfance dans l’atelier du Père Noël pour se rendre dans le monde réel de New York afin de retrouver son père biologique. Retrouver le chemin de notre mandat principal et être fidèle à notre forme à l’EMNO s’est traduit par un nouveau plan stratégique impressionnant : Le défi 2025 de l’EMNO. Pour une aventure à la maison entre deux films, répondez au Jeu-questionnaire de l’EMNO.
Dans ce film, l’homme d’affaires divorcé Scott Calvin redécouvre l’amour de son fils Charlie lorsqu’il revêt le manteau rouge du Père Noël après un malheureux accident qui a tué le Père Noël. Le traîneau, les lutins et la magie semblent tous dénoter un rêve, mais dix mois plus tard, Scott ne peut s’empêcher de prendre du poids, de se laisser pousser une barbe blanche et d’avoir envie de biscuits et de lait. En y regardant de plus près, il trouve la clause du Père Noël. De charmants lutins aux joues rouges, âgés de mille ans, et une fin chaleureuse recréent tous nos efforts de cette année pour faire du pain au levain, du pain à la banane, du pain irlandais à la bière, du pain de maïs… enfin, vous voyez le tableau. Cela rappelle celles et ceux d’entre nous qui ont pris des kilos pandémiques.
J’ai regardé cette vidéo une cinquantaine de fois, et chaque fois je suis inspirée et abasourdie par les magnifiques paysages, la musique et les messages qu’elle contient. Merci à Jason Lind et à toute notre équipe des communications de l’avoir réalisée et si bien présentée. Blague à part, je sais que cette année a été difficile pour tout le monde, pleine d’anxiété, de peur et d’incertitude. Ce fut un plaisir de travailler avec vous tout au long de cette année difficile et de faire partie d’une communauté de sites de l’EMNO résiliente, attentionnée, généreuse et respectueuse. Merci à vous et à toute l’équipe de l’EMNO, personnel, corps professoral, population étudiante et partenaires, d’avoir fait votre part pour nous aider à surmonter tout cela.
Faites une pause, reposez-vous et demeurez en sécurité. Continuons d’espérer qu’un vaccin contre la COVID-19 arrivera en 2021.
Bonne année à vous toutes et tous.
Je vous invite à continuer de suivre mon voyage sur Twitter @ddsv3 en utilisant #OùestDreVerma.
Je recevrai volontiers les commentaires sur ce blogue et d’autres sujets que vous désirez porter à mon attention à dean@nosm.ca.
Passez de joyeuses fêtes mais faites attention
Profitez des fêtes, mais surtout, montrez l’exemple et continuez d’observer les recommandations de santé publique, notamment la distanciation sociale, les restrictions de voyage et les protocoles sanitaires. Soyez prudents afin que nous, à l’EMNO, contribuions activement à réduire la transmission de la COVID-19. Consultez le site Web de votre bureau de santé publique de district pour obtenir les dernières mises à jour.
Pause des fêtes à l’EMNO
L’École sera fermée du lundi 21 décembre 2020 au vendredi 1er janvier 2021 compris et reprendra ses activités normales le lundi 4 janvier 2021. Profitez de cette période pour vous reposer et refaire le plein d’énergie. Vous l’avez mérité!
Message du président du Conseil étudiant de l’EMNO
Le dimanche 13 décembre, le Conseil étudiant de l’EMNO a tenu sa réunion annuelle, le plus grand et plus important rassemblement de l’année de notre conseil. Pour la première fois, cette réunion était virtuelle. Chaque année, nous profitons de cette occasion pour faire le point sur nos questions les plus importantes. Cette année nous a certainement présenté la série la plus unique de défis. Le thème commun à beaucoup de nos sujets de discussion a été la défense des intérêts; celle de nos étudiantes et étudiants de première et deuxième année qui s’adressent à leur nouvelle classe virtuelle, et celle de nos étudiantes et étudiants de troisième et quatrième année qui expriment leurs besoins pour faire la transition vers la résidence pendant une pandémie. Je tiens à remercier tous les membres de notre conseil exécutif pour leur temps et leur dévouement, non seulement lors de la réunion de cette année, mais aussi tout au long de leur année d’études médicales déjà bien remplie. Au nom de l’ensemble du conseil étudiant, j’aimerais exprimer notre sincère gratitude au corps professoral de l’EMNO qui a pris le temps de nous rencontrer, ainsi qu’à la Dre Sarita Verma, Pr Brian Ross, Ph. D., au Dr Jason Shack et à Kate Beatty. Merci beaucoup pour le temps que vous avez consacré à notre réunion. Vous êtes toujours bienvenus au Conseil étudiant de l’EMNO.
Au plaisir de vous voir toutes et tous bientôt,
Joe Boyle
Président, Conseil étudiant de l’EMNO
Faites une différence pendant la période des fêtes
Envisagez de faire un don à votre banque alimentaire locale. La COVID-19 a eu un impact économique dévastateur pour de nombreuses familles du Nord de l’Ontario. Si vous faites partie des chanceux qui n’ont pas eu à se soucier de leur facture d’épicerie ce mois-ci, pensez à faire un don à votre communauté. Donnons ce que nous pouvons pour que plus de gens aient accès à des aliments sains et que personne ne souffre de la faim en cette période des fêtes de fin d’année.
Pour le Dr Eli Nix, le chemin vers l’école de médecine n’a pas toujours été droit. Ce fut un parcours sinueux et difficile qui a exigé des encouragements même s’il était un candidat prometteur très éduqué.
« Il a fallu beaucoup de gens pour me convaincre que l’école de médecine était une option pour moi, et il m’a fallu un certain temps pour décider si cela valait la peine d’essayer », explique le Dr Nix, diplômé de l’EMNO (classe de médecine de 2019). Il est actuellement résident en deuxième année de psychiatrie et travaille dans une clinique externe de santé mentale pour les patients de Thunder Bay et de toute la région.
Le Dr Nix, originaire de Thunder Bay, est heureux de pouvoir suivre sa formation spécialisée chez lui. Pendant ses études de médecine, il a représenté l’EMNO dans les écoles secondaires Dennis Franklin Cromarty et Pelican Falls où il a parlé aux élèves dans le but d’encourager davantage de jeunes Autochtones à envisager une carrière en médecine. Depuis l’obtention de son grade de l’EMNO, il continue d’apporter une contribution en encadrant des étudiantes et étudiants en médecine autochtones et en se portant volontaire pour aider à organiser un événement annuel d’accueil des candidates et candidats autochtones.
Lorsqu’il a récemment appris l’existence du programme Parcours des praticiennes et praticiens autochtones de l’EMNO, que la RBC et la Aubrey and Marla Dan Foundation soutiennent dans le Nord de l’Ontario, il a déclaré que l’EMNO avait besoin de ce programme. Ce nouveau programme permettra de renseigner les jeunes du Nord et de leur faire voir la possibilité d’une carrière en santé ainsi que d’étudier, et éventuellement d’exercer, dans leur communauté d’origine.
« La vérité est que les étudiantes et étudiants autochtones en médecine à l’EMNO doivent souvent travailler plus fort pour surmonter les obstacles et gagner leur place à l’école de médecine. L’École travaille sur des moyens efficaces de recruter davantage de membres des communautés des Premières nations, car elles sont sous-représentées et l’EMNO veut refléter la démographie du Nord Ontario. »
Il comprend fort bien les défis. Il lui a fallu de nombreuses années pour envisager de poser sa candidature. Il a d’abord obtenu un grade en biologie à la Lakehead University, puis un doctorat en microbiologie à l’University of British Columbia.
Lorsque les emplois dans son domaine d’expertise semblaient rares, son directeur de thèse l’a encouragé à poser sa candidature à l’école de médecine. Même avec d’impressionnantes qualifications universitaires de troisième cycle, le Dr Nix dit qu’à l’époque, il hésitait encore.
« Au début, je ne pensais pas avoir de chance d’être admis à l’école de médecine, mais j’ai commencé à envisager différents programmes et à faire du bénévolat. Je savais qu’il me faudrait quelques années pour préparer ma candidature », explique-t-il.
« Lorsque j’ai obtenu mon poste de post-doctorant en recherche à l’EMNO relevant de mon mentor, la Pre Ulanova, Ph.D., j’ai pu travailler tout en essayant d’être accepté au programme de médecine. Cela m’a apporté des moyens de subsistance décents et j’ai pu utiliser mes antécédents universitaires pour renforcer ma candidature. »
Après quelques interviews, le Dr Nix s’est réjoui de devenir étudiant en médecine. Il parle avec enthousiasme de son expérience à l’EMNO et dans les communautés où il a acquis son expérience clinique. Bien qu’il ne se souvienne pas d’avoir été victime de racisme systémique au sein de l’École, il se souvient de quelques expériences qui se sont produites pendant sa formation dans la communauté.
« L’École est vraiment inclusive. Elle offre beaucoup d’éducation culturelle solide et la population étudiante non autochtone semble vraiment ouverte à cela », dit-il.
Pourtant, il pense que les gens font parfois des associations qui ne sont pas justes : « Certaines personnes n’ont pas l’expérience nécessaire pour comprendre le point de vue d’une autre personne, et j’ai eu l’impression qu’ils pensaient que les Autochtones étaient injustement avantagés lorsqu’ils postulaient à l’EMNO ».
À son avis, les encouragements sont la clé. Accéder à un parcours qui les appuie aidera les étudiantes et étudiants à trouver leur chemin vers l’EMNO.
« Il est important de reconnaître que de nombreuses personnes sont sur le point de poser leur candidature mais n’ont pas forcément la confiance nécessaire. Il faut donc vraiment être encouragé et soutenu par d’autres personnes pour poser sa candidature. »