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Une ordonnance pour lutter contre l’épuisement professionnel

L’EMNO fait œuvre de pionnière en donnant la priorité à la santé mentale et au bien-être et en offrant de la formation sur l’autocompassion consciente à la population étudiante et au corps professoral.

Les médecins du Nord, déjà surchargés avant la pandémie, sollicitent de l’aide alors que la pandémie continue. « Oui, je prends bien soin de mes patients mais je ne sais pas bien prendre soin de moi et j’ai l’impression d’être complètement dépassé » écrit un médecin de famille en région éloignée inscrit à la formation.

C’est un scénario trop commun dans le Nord de l’Ontario en ce moment. L’EMNO montre la voie en matière de bien-être de la population étudiante et du corps professoral au Canada en offrant une formation sur l’autocompassion à la population étudiante en médecine et au corps professoral. La promotion du changement fort nécessaire en médecine pour le bien-être et de la culture fait partie de son plan stratégique.

« Je faisais personnellement l’expérience de l’épuisement professionnel et ce programme m’a aidé à reprendre le dessus, dit le Dr Bryan MacLeod, professeur agrégé à l’EMNO et directeur médical sortant de l’unité de douleur chronique au St. Joseph’s Health Centre à Thunder Bay. Mes collègues et les participants montrent des signes avertisseurs manifestes que nous sommes profondément éprouvés. »

Le cours de six semaines, intitulé Self-compassion for health-care communities, met l’accent sur des outils pratiques et faciles conçus pour les médecins occupés qui n’ont pas le temps de se plonger dans une longue méditation ou des routines de bien-être. « Ce sont des outils applicables sur le champ qui peuvent être utilisés au poste de soins infirmiers ou même pendant la prestation des soins. Ils sont conçus pour contrer la hausse en flèche de l’épuisement chez les médecins, explique Monique Mercier, associée en psychologie et formatrice en autocompassion consciente au Center for Mindful Self-Compassion.

« Les études médicales sont enrichissantes mais peuvent également être très difficiles et exigeantes, surtout durant une pandémie. La formation en autocompassion est un excellent outil que mes homologues et moi utilisons pour garder le moral, pas seulement à l’école de médecine mais dans toutes les facettes de la vie en dehors de la médecine, déclare Sarah Hunt, étudiante en troisième année de médecine à l’EMNO élue récemment présidente du bien-être de la population étudiante. Les étudiantes et étudiants qui ont suivi la formation en autocompassion à l’EMNO ont dit qu’ils ne savaient pas à quel point ils en avaient besoin jusqu’à ce qu’ils suivent le cours. »

Selon une étude publiée dans le Canadian Journal of Emergency Medicine, avant la pandémie, 86 pour cent des médecins urgentistes sondés ont dit avoir souffert d’épuisement professionnel, et près de 6 pour cent ont dit qu’ils avaient vraiment envisagé le suicide au cours de l’année écoulée. Il ressort du Sondage national de l’AMC sur la santé des médecins de 2018, que « En dépit des efforts concertés déployés pour promouvoir et protéger la santé et le bien-être des médecins, l’état de santé du corps médical continue de menacer sérieusement la viabilité du système de santé canadien ».

Le Dr MacLeod dit que toutes les écoles de médecine doivent envisager de donner la plus grande priorité à cette formation : « Il est vital d’avoir de l’autocompassion sans tarder, et cette formation devrait être largement accessible. C’est une bouée de sauvetage. »

Pleins feux sur la santé publique et compte à rebours vers l’agrément de la FMPC

Le visage de la santé publique dans le Nord de l’Ontario

•Billet de blogue d’invité par le Dr John Tuinema•

Chaque programme de résidence forme pour relever « le grand défi » : la situation rare, qui menace le pronostic vital et se produit soudainement. Par exemple, les anesthésistes apprennent à se préparer pour l’hyperthermie maligne qui est complexe, mortelle et peut se produire en un instant. Ils sont bien formés pour prendre en charge cela même s’ils la verront rarement dans leur carrière.

Les médecins spécialistes de la santé publique suivent aussi une formation pour faire face au « grand défi » qui survient en général une seule fois, sinon pas du tout, durant une carrière. Bien avant l’arrivée de la COVID-19, les résidentes et résidents en santé publique et médecine préventive (SPMP) suivaient une formation concernant les pandémies et les nouveaux pathogènes. Les rapports sur le SRAS, H1N1, la pandémie de grippe et Ebola faisaient partie des lectures obligatoires. Une activité commune dans la formation en SPMP est une simulation ou une question d’exercice axée sur la « maladie X », un pathogène imaginaire possédant des propriétés uniques qui obligent à réfléchir aux problèmes et à réagir à l’émergence d’une nouvelle maladie.

La simulation est devenue réalité en 2019 dans le programme de résidence en SPMP de l’EMNO lorsque les résidentes et résidents en SPMP ont suivi de près le nouveau coronavirus. Une menace lointaine est vite devenue une réalité mondiale et les priorités de leur formation ont rapidement changé. Les stages en promotion de la santé et les stages au choix longtemps attendus ont été suspendus et remplacés par des stages en réponse d’urgence et aux maladies infectieuses. Les stagiaires ont commencé à s’attaquer à des éclosions locales difficiles, à participer à des interviews médiatiques et des consultations à n’en plus finir sur la COVID-19. Ils continuent d’être confrontés à des décisions incroyablement difficiles, dont beaucoup peuvent être une question de vie ou de mort. Même la bonne décision pèse lourd. La mise en quarantaine peut absolument être la meilleure décision dans une situation donnée car elle sauve beaucoup de vies, mais elle a quand même des conséquences pour les personnes en quarantaine et ne doit par conséquent pas être prise à la légère.

La COVID-19 s’est révélé un cours de haut niveau en contrôle de pandémie pour les résidentes et résidents en SPMP qui ont ainsi acquis une expérience considérable en gestion des éclosions de troubles respiratoires. Aussi utile que cette formation puisse être, elle a réduit considérablement le temps nécessaire pour s’instruire pleinement dans leur spécialité. Pour devenir spécialiste en SPMP, il faut effectuer une formation en résidence de cinq ans dans une spécialité très vaste. La promotion de la santé, la prévention des blessures, les recherches sur l’incidence élevée de cancers, la salubrité de l’eau potable, les opioïdes, le changement climatique, le contrôle du tabagisme et bien d’autres composantes de base de la formation ont dû être insérées dans les interstices de la réponse à la pandémie afin d’acquérir de la compétence dans ces domaines. Les résidentes et résidents ont fait preuve d’ingéniosité pour intégrer ces sujets dans leur travail quotidien. Les recherches sur les préjudices inattendus potentiels des mesures de santé publique en période de pandémie ont aidé à renforcer l’apprentissage en promotion de la santé, et la conception de plans de campagnes de vaccination a apporté des compétences en engagement communautaire et élaboration de politiques. La pandémie transparaît encore dans chaque aspect de leur travail, mais leur créativité pour atteindre leurs objectifs d’apprentissage les préparera bien pour ce qui les attendra à la fin de leur formation.

Si la pandémie devait se terminer demain, le travail en santé publique ne s’arrêterait pas. À bien des égards, il ne fait que commencer. Pour améliorer la santé de la population, il faudra en premier lieu effectuer une immense évaluation de sa santé pour établir de nouveau le niveau de santé de base de nos communautés. Lorsque nous aurons vérifié le pouls, nous devrons travailler avec nos communautés, le secteur des soins de santé et les innombrables autres partenaires pour nous attaquer aux nombreux problèmes de santé exacerbés par la plus grande pandémie du siècle. Pour ce faire, nous aurons besoin d’un secteur de la santé publique bien nanti et de beaucoup plus de médecins spécialistes de la SPMP.

Avant la COVID-19, les spécialistes de la santé publique et les ressources se faisaient déjà désirer. Notre population n’est peut-être pas aussi dense que dans d’autres régions de l’Ontario mais la densité des risques sanitaires est beaucoup plus élevée. Les déterminants sociaux de la santé pèsent lourd sur les gens du Nord et il faut s’en occuper au niveau de la population afin d’améliorer la santé dans le Nord. Selon les estimations actuelles, nous avons besoin d’environ deux ou trois fois plus de spécialistes de la santé publique dans nos organismes de ce domaine. Nous avons aussi besoin davantage de spécialistes en santé publique pour répondre aux besoins supplémentaires dans les communautés autochtones, dans l’éducation en santé publique et aux niveaux provincial et fédéral. Pour combler ce besoin, nous devons renforcer l’éducation en santé publique et examiner les structures de soutien et d’encouragement des personnes qui souhaitent travailler dans le Nord. Les médecins spécialistes de la SPMP ne travaillent pas dans le vide et comptent sur leurs équipes d’inspecteurs de la santé publique, de personnel infirmier en santé publique, de promoteurs de la santé, d’épidémiologistes et d’innombrables autres intervenants dans diverses fonctions qui appuient la protection et la promotion de la santé dans le Nord. Il faut mettre en place les ressources et les structures pour recruter, conserver et épauler toutes ces personnes.

Faire face à une pandémie est certainement « le grand défi » pour la SPMP, mais ce n’est pas notre seule expertise. Une approche de la santé de la population dans l’optique de la responsabilité sociale est nécessaire pour améliorer la santé dans le Nord. Heureusement, c’est une composante centrale de notre série de compétences. Durant cette pandémie et longtemps après, le secteur de la santé publique continuera de s’affairer à améliorer la santé de tous dans le Nord.

Le Dr John Tuinema est médecin spécialiste en santé publique et médecine préventive et récent diplômé de l’EMNO en SPMP. Il est actuellement médecin hygiéniste associé par intérim à Santé publique Algoma.



Compte à rebours vers l’agrément de la FMPC

Bonjour, aanin, boozhoo, tanshi, kwe kwe, hello,

Sous le leadership du Dr Rob Anderson, doyen associé, Formation médicale postdoctorale et sciences de la santé (FMPD et SS) et de Mme Jennifer Fawcett, directrice principale, le bureau de la FMPD et les programmes de résidence de l’EMNO travaillent étroitement avec tous les partenaires pour préparer la visite d’agrément qui aura lieu du lundi 21 novembre au samedi 27 novembre 2021.

Ces deux dernières années, le Dr Anderson et l’équipe de la FMPD ont travaillé d’arrache-pied avec les directrices et directeurs de section, les responsables de sites cliniques, les directrices et directeurs de programmes, le corps professoral, les coordonnatrices et coordonnateurs de programmes, le personnel du Bureau de la FMPD, les résidentes et résidents, la Professional Association of Residents of Ontario, et l’Ordre des médecins et chirurgiens de l’Ontario pour répondre aux normes.

L’EMNO accueillera plusieurs examinateurs et du personnel du Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada (CRMCC) et du Collège des médecins de famille du Canada (CMFC) pour ces sept jours d’examen de la plupart des programmes de résidence de l’École et de notre environnement institutionnel.

Les résidentes et résidents sont formés dans des programmes de médecine familiale agréés par le CMFC et des spécialités agréées par le CRMCC. Les programmes de résidence doivent être conformes aux normes établies par leur ordre professionnel respectif et faire état d’accomplissements exemplaires.

En outre, nous devons répondre aux normes d’agrément régissant l’ensemble de l’environnement d’apprentissage, les affaires professorales et le perfectionnement du corps professoral, la gouvernance et le leadership du Bureau de la formation médicale postdoctorale, et les normes applicables aux sites d’enseignement clinique. Le dernier examen pour l’agrément de la FMPD a eu lieu en 2014, conformément au cycle d’examen intensif des instances d’agrément qui s’échelonne sur six ans.

Depuis, les programmes de résidence de l’EMNO ont fait l’objet d’examens internes et externes, apporté des améliorations et donné suite aux recommandations. Nous avons travaillé pour améliorer le soutien aux programmes de résidence avec de meilleures politiques, davantage de personnel et l’ajout du programme de bien-être des résidentes et résidents, des soutiens à la formation médicale fondée sur la compétence, de la formation des résidentes et résidents dans le cadre du programme de base et le perfectionnement du corps professoral.

Dans les écoles de médecine du monde, il est commun d’évaluer la qualité des programmes de résidence, y compris les programmes de formation et leur gestion. Un processus complet d’agrément apporte l’assurance que la formation offerte à l’EMNO répond aux plus hautes normes. L’agrément est l’outil le plus efficace pour améliorer la qualité des programmes de FMPD, et nous nous attendons à recevoir des commentaires sur des améliorations en cours qui concordent avec notre mandat de responsabilité sociale.

La FMPD se concentre sur le « compte à rebours vers l’agrément » depuis mon arrivée à titre de doyenne en juillet 2019. Merci à toutes les personnes engagées dans le processus et l’examen d’agrément au bureau de la FMPD et dans les programmes, partout dans l’EMNO et sur le campus qu’est le Nord de l’Ontario. Un merci spécial à toute l’équipe de la formation médicale postdoctorale, surtout à Marissa Giusti, agente d’administration de la FMPD et de l’agrément, pour son travail consciencieux et son attention aux détails. Nous nous attendons à une visite très réussie!

Merci, miigwetch, thank you, marsi,

Dre Sarita Verma
Doyenne et PDG
École de médecine du Nord de l’Ontario

Si vous avez des commentaires, envoyez-les à dean@nosm.ca et suivez-moi sur Twitter @ddsv3.

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Prochaines séances d’information sur la résidence

Séance d’information sur la santé publique et la médecine préventive
Les étudiantes et étudiants en médecine désireux de faire carrière comme spécialistes de la santé publique et de la médecine préventive peuvent assister à une séance virtuelle d’information qui aura lieu le 12 décembre ou visiter notre site Web.

Séance d’information sur la médecine familiale
À l’intention des médecins en résidence! Le Programme de formation médicale postdoctorale de l’EMNO organise une séance d’information générale sur les possibilités dans le domaine de la médecine familiale. Faites-vous une idée générale des communautés avec lesquelles nous sommes alliés. Renseignez-vous sur des communautés en particulier et sur les sites d’apprentissage. Joignez-vous à nous le 18 novembre de 19 h 30 à 21 h sur WebEx.



Félicitations

Le Dr John Tuinema a reçu le tout premier Prix d’enseignement en santé publique et médecine préventive de l’EMNO pour avoir amélioré la formation en santé publique et médecine préventive. Notre auteur invité de billet de blogue, il est professeur adjoint à l’EMNO à Sault Ste. Marie et diplômé du programme de cinq ans en SPMP de l’École. En juillet, il a pris ses nouvelles fonctions de médecin hygiéniste associé à Santé publique Algoma. Ce prix, créé par le Dr George Pasut, qui a été directeur du programme de résidence en SPMP de 2019 à 2021, honore le dévouement, la passion, le leadership et les contributions à l’excellence en formation en SPMP.


Dernière consultation sur l’Université de l’EMNO ce soir

17 h 30 – 18 h 30
JW Marriott The Rosseau Muskoka Resort & Spa
1050, chemin Paignton House, Minett, ON

Link to WebEx

Tout le monde est bienvenu à la consultation sur l’Université de l’EMNO qui aura lieu ce soir pour la région de Parry Sound-Muskoka. Si vous avez manqué la consultation dans votre région, vous pouvez fort bien vous joindre à nous. Veuillez répondre à l’invitation car le nombre de places est limité.

Il est encore temps de partager votre point de vue dans le sondage en ligne.

Merci d’avoir assisté aux réceptions de l’EMNO organisées dans tout le Nord. Ces deux dernières semaines, la Dre Verma a animé des rencontres publiques à Sudbury, North Bay, Timmins et Sault Ste. Marie. Votre engagement à améliorer la santé de la population du Nord de l’Ontario est inspirant.

Dans l’actualité


Célébration de la vie de la Dre Janet McElhaney

Il y aura une célébration de la vie de la Dre Janet McElhaney le dimanche 21 novembre à 17 h HNE (14 h heure du Pacifique). Le service sera diffusé en direct pour les personnes qui désirent y assister. Vous pouvez aussi regarder la vidéo en tout temps par la suite en cliquant sur le même lien.

Une diplômée de l’EMNO soutient la prochaine génération de médecins à Iroquois Falls

La Dre Auri Bruno-Petrina (Dre Bruno) dit qu’Iroquois Falls lui rappelle la petite ville où elle a grandi au Brésil. Diplômée de l’EMNO (médecine familiale, 2017), elle est maintenant professeure adjointe et médecin de famille occupée à l’Équipe de santé familiale d’Iroquois Falls et à l’Hôpital général Anson. Étant donné le très petit nombre de médecins dans la communauté, elle comprend l’importance d’encourager et d’appuyer les professionnelles et professionnels de la santé et les étudiantes et étudiants potentiels à présenter une demande d’admission à l’école de médecine afin de recruter davantage de médecins dans la communauté.

Elle et son époux, Mike Petrina, ont promis de faire un don très généreux de 10 000 $ à l’EMNO au cours des dix prochaines années. La Dre Bruno est la première diplômée à alimenter une bourse de l’EMNO visant spécialement à aider financièrement des étudiantes et étudiants de la région du Bureau de santé Porcupine. Elle espère améliorer le recrutement et le maintien en poste de médecins en partenariat avec l’EMNO en offrant du soutien financier.

« Il est agréable d’aider une étudiante ou un étudiant en médecine de l’EMNO qui, espérons-le, reviendra exercer dans notre ville, dit-elle. C’est un investissement dans cette personne mais aussi dans notre système de santé. Si je peux convaincre un fournisseur de soins ou une étudiante ou un étudiant de notre région à étudier la médecine à l’EMNO, j’aurai alors atteint mon but. »

À Iroquois Falls, qui ressemble à beaucoup de villes du Nord de l’Ontario, deux obstacles entravent l’accès aux études de médecine : la concurrence extrême pour l’admission et le fardeau financier de quatre années d’études de médecine. « Ces facteurs empêchent beaucoup de gens de présenter une demande d’admission et j’espère pouvoir alléger quelque peu ce stress dans la population étudiante. »

Des défis récents résultant de la pandémie de COVID-19 ont aussi amplifié la nécessité de recruter. Le Bureau de santé Porcupine a pris en charge un grand nombre de cas de COVID-19 qui se sont déclarés dans la région au printemps et en été, à un moment où les ressources étaient déjà très sollicitées.

« Ce fut une année exigeante pour les médecins et fournisseurs de soins de santé ruraux de notre région, ajoute la Dre Bruno. La pandémie a réellement exposé les domaines où il existait des besoins et mis en évidence les pénuries. Je compatis avec les patients qui finissent toujours par compter sur les services d’urgence pour des soins aigus parce qu’ils n’ont pas de médecin de famille. »

Même si elle aime sa petite ville, elle admet qu’il est difficile d’y recruter et conserver des médecins : « Lorsqu’un médecin prend sa retraite ou déménage, il n’y a personne pour le remplacer. Pour les médecins qui restent, cela signifie prendre probablement soin de personnes qui s’ajoutent à notre déjà très longue liste de patients et à nos horaires chargés. »

La Dre Bruno dit que ce sont son expérience à l’EMNO et le plaisir de la vie dans une petite ville qui l’ont inspirée à offrir de l’aide, et elle parle éloquemment des personnes qui l’ont inspirée à s’engager dans la médecine familiale.

« Je me souviens de l’accueil chaleureux que j’ai reçu en tant que résidente de l’EMNO. Les Dres Glenna Stirrett et Cathy Cervin m’ont fait sentir que j’étais extrêmement bienvenue dans le programme et m’ont remerciée personnellement d’avoir choisi l’EMNO. La Dre Cervin a remarqué mon expérience de physiatre et souligné combien elle serait profitable dans mon programme de résidence en médecine familiale. »

« Ce qui était remarquable au sujet de l’EMNO, est la gentillesse des résidentes et résidents et du corps professoral qui m’ont accueillie tout au long de ma formation. J’ai noué des amitiés à vie et j’ai pu parler au doyen sur le même ton amical que celui avec lequel je parle aux autres résidentes et résidents. »

Aujourd’hui, la Dre Bruno apporte un esprit de camaraderie et amical dans son exercice et attend avec intérêt d’élargir l’équipe de médecins à Iroquois Falls. Elle encourage ses camarades diplômés de l’EMNO à envisager d’effectuer une contribution personnelle.

NOSM University