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Le programme de stages en diététique de l’EMNO reçoit l’agrément national

L’École de médecine du Nord de l’Ontario (EMNO) a le plaisir d’annoncer que les Diététistes du Canada (DC), l’organisme national d’agrément des programmes de formation en diététique, a agréé son Programme de stages en diététique dans le Nord de l’Ontario (PSDNO) jusqu’en 2022. Grâce à sa haute qualité, le PSDNO est le premier programme canadien de stages pour diplômés sélectionné pour être évalué selon les nouvelles normes d’agrément du Partenariat pour la formation et la pratique en nutrition.

Trois examinateurs des Diététistes du Canada sont venus à l’EMNO les 3 et 4 mai 2015. Pour recevoir l’agrément des DC, les programmes de formation théorique et pratique doivent répondre à des normes nationales. À la fin de la visite, l’équipe des DC a applaudi le PSDNO ainsi que le leadership de sa gestionnaire, Denise Raftis, et a également fait remarquer que les étudiants et les précepteurs du PSDNO se sentaient engagés et appuyés et appréciaient de participer au programme.

« L’agrément officiel des Diététistes du Canada montre que le Programme de stages en diététique dans le Nord de l’Ontario prépare fort bien les étudiants à exercer. Ils reçoivent une formation de haute qualité qui fait que nos diplômés fournissent des services de haute qualité à leurs patients et clients, a déclaré le Dr David Marsh, vice-doyen à l’EMNO. L’équipe chargée de l’agrément a été impressionnée par le bon moral qui règne dans tous les secteurs du programme. Le succès du PSDNO témoigne de l’excellence du personnel, des précepteurs et des stagiaires. »

Le PSDNO offre aux étudiants la possibilité de vivre dans des communautés régionales et d’acquérir la gamme de compétences nécessaires pour exercer la diététique. Avec des stages dans des petits hôpitaux régionaux, des services de santé publique, des équipes de santé familiale et des communautés francophones et autochtones de tout le Nord de l’Ontario, les étudiants peuvent se faire une idée des réalités géographiques, démographiques et culturelles de l’exercice dans la région.

Depuis l’arrivée des premiers étudiants en 2007, le PSDNO a formé 99 stagiaires dans plus de 35 communautés du Nord. De ce nombre, 74 p. 100 ont choisi d’exercer dans des communautés rurales ou du Nord; ce qui signifie que 64 diététistes améliorent maintenant l’accès aux services de diététique dans des régions rurales et du Nord où ils manquaient depuis longtemps.

Pour obtenir d’autres renseignements, visitez le site www.nosm.ca/nodip.

Une professeure de l’EMNO reçoit des fonds pour la recherche sur le diabète dans les Premières Nations

L’unité ontarienne de soutien à la Stratégie de recherche axée sur le patient (SRAP) finance une étude visant à examiner de près le diabète dans les Premières Nations de l’Ontario et à concevoir de nouveaux programmes et politiques pour les personnes qui en sont atteintes.

Mme Kristen Jacklin, professeure agrégée d’anthropologie médicale dans la Division des sciences humaines de l’École de médecine du Nord de l’Ontario (EMNO) à l’Université Laurentienne, fait partie des trois responsables de l’étude intitulée Reducing the burden of diabetes on First Nations people in Ontario: Using population-level data to inform policy and practice. L’équipe a reçu une subvention IMPACT de 770 000 $ de l’unité ontarienne de soutien à la SRAP (OSSU). La professeure Jacklin collaborera dans cette étude avec les professeurs Mike Green (Queen’s University) et Jennifer Walker (Nipissing University) pendant trois ans.

L’approche adoptée est un partenariat officiel avec les Chiefs of Ontario, l’Institut de recherche en services de santé (IRSS) et le Centre de recherche en santé dans les milieux ruraux et du Nord (CRSRN) de l’Université Laurentienne. En collaboration avec des intervenants clés et un groupe consultatif de patients, l’équipe recueillera, évaluera et analysera des données sur le diabète, puis les utilisera pour améliorer la santé des communautés des Premières Nations de l’Ontario.

« La complexité de la prestation des services de santé dans les Premières Nations et le manque de données sur les résultats ont entravé jusqu’à maintenant l’évaluation des retombées des programmes et politiques touchant le diabète dans les Premières Nations, a expliqué la professeure Jacklin. Guidés par les Chiefs of Ontario et le groupe consultatif de patients, nous pourrons examiner pour la première fois le rapport entre des programmes et politiques et les résultats pour les patients diabétiques. Cette étude est particulièrement importante pour les Premières Nations du Nord de l’Ontario qui peuvent se heurter à de grands obstacles pour accéder à des services de traitement du diabète dans les communautés rurales et isolées, et qui ont encore plus de difficulté à s’approvisionner en aliments frais nécessaires pour gérer le diabète. »

« Nous produirons une évaluation complète du diabète, de ses complications et de l’utilisation de services de santé connexes dans la province pour les Premières Nations, a dit le professeur Green, le responsable de l’étude. Nous examinerons l’accès aux soins et nous étudierons les politiques particulières que les groupes d’intervenants apporteront. Nous travaillerons très étroitement avec eux afin de transformer les données en renseignements et en connaissances qui les aideront à prendre des décisions sur la prestation de programmes et l’élaboration de politiques et pour améliorer les résultats.

« J’espère que cette étude nous apportera non seulement les renseignements nécessaires sur les tendances du diabète, les résultats et l’utilisation des services de santé dans les Premières Nations, mais qu’elle tracera aussi la route à suivre pour améliorer les résultats grâce à la recherche sur les politiques, les programmes et l’intervention » a ajouté Mme Jacklin.

La subvention de l’OSSU, une des sept seulement attribuées, aidera à trouver une solution aux proportions très en hausse de diabète dans la province, surtout dans les Premières Nations. Le diabète peut provoquer des complications comme une insuffisance rénale, une cardiopathie et des amputations.

« La réduction du diabète dans nos communautés est une priorité et j’espère que la participation des patients diabétiques des Premières Nations rendra cette étude utile et concrète. Les récits des membres des Premières Nations qui vivent avec le diabète seront importants pour évaluer les politiques qui touchent la vie des citoyens des Premières Nations en Ontario » a affirmé le grand chef Patrick Madahbee, président du comité de la santé des Chiefs of Ontario.

Les subventions IMPACT visent à regrouper divers intervenants (patients, cliniciens, chercheurs, décideurs, utilisateurs des connaissances, participants du secteur industriel et de la santé) pour concevoir et instaurer des possibilités prometteuses de recherche qui améliorent les résultats pour la santé des patients et font avancer notre système de santé. L’OSSU est une collaboration de douze grands centres de recherche en santé de l’Ontario (y compris le CRSRN de l’Université Laurentienne) et est financé par le gouvernement de l’Ontario et les Instituts de recherche en santé du Canada.

Kiri Benson
Rédactrice, Communications
École de médecine du Nord de l’Ontario
Téléphone :      705-662-7169
Courriel :          kbenson@nosm.ca

L’EMNO reçoit un prix international d’excellence en communications

Le lundi 15 juin 2015, l’École de médecine du Nord de l’Ontario (EMNO) a eu l’honneur de recevoir un prestigieux prix international d’excellence en communications, le Gold Quill Award, décerné par l’Association internationale des professionnels de la communication (AIPC) dans le cadre de la conférence mondiale annuelle qui a eu lieu à San Francisco.

L’Unité des communications de l’EMNO a reçu ce prix pour sa campagne de communications intitulée Give the Gift of Appreciation : NOSM’s Staff Awards of Excellence. Cette distinction se classe dans la catégorie des événements spéciaux internes, division des compétences en communications, et souligne la stratégie de communications employée pour améliorer le programme actuel de récompense du personnel de l’École. La campagne, lancée avant la période des fêtes, encourageait les employés à proposer des collègues pour recevoir un prix en remerciement du travail exceptionnel qu’ils accomplissent chaque jour.

« Le succès du programme des prix d’excellence de l’EMNO est le fruit de la collaboration de l’équipe des communications, des ressources humaines et du personnel de l’École qui ont donné de leur temps et leur expertise pour célébrer les succès de leurs collègues, a déclaré le Dr Roger Strasser, le doyen de l’EMNO. Le programme des prix d’excellence de l’École souligne les accomplissements de membres du personnel et rend hommage au travail important de tout le personnel pour la réalisation de la vision de Formation et recherche novatrices pour l’amélioration de la santé dans le Nord. »

Le jury du prix Gold Quill a dit que le programme des prix d’excellence de l’EMNO utilise très bien les ressources, surtout l’argent, le temps et les efforts. Les commentaires du jury du prix Gold Quill de l’AIPC contenaient des « félicitations pour l’utilisation des ressources internes ». Le jury a trouvé que le thème et l’aspect du programme étaient très appropriés pour un environnement universitaire.

Le programme des prix Gold Quill 2015 de l’AIPC récompense l’excellence en communications dans le monde entier et est un des plus prestigieux prix en ce domaine.

NOSM University