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Une équipe de recherche du Centre Dr Gilles Arcand pour l’équité en santé reçoit une subvention de 2,43 millions de dollars du CRSH afin de se pencher sur les priorités locales en matière de santé

Un nouvelle étude, menée par Erin Cameron, Ph.D., directrice du Centre Dr Gilles Arcand pour l’équité en santé à l’Université de l’EMNO, a reçu une Subvention de partenariat de 2,43 millions de dollars du Conseil de recherches en sciences sociales (CRSH) pour se pencher sur les priorités locales en matière de santé.

Mme Cameron et son équipe encourageront les relations entre les communautés et le monde de l’éducation. L’étude portera sur la façon dont les établissements d’enseignement peuvent orienter leur enseignement, leurs recherches et leurs services afin de répondre aux besoins communautaires locaux et dans le monde en général. Le mouvement mondial grandissant pour la recherche sur la responsabilité sociale exhorte les universitaires à répondre à cet appel.

Selon Mme Cameron, « La responsabilité sociale en tant que mouvement de recherche est largement sous-étudié. Cette étude explorera le potentiel de transformation d’un réseau de recherche socialement responsable pour encourager les partenariats et le changement institutionnel. L’Université de l’EMNO, et ses nombreux solide partenaires institutionnels et organisationnels dans le Nord de l’Ontario, au Canada et partout dans le monde, est bien placée pour mener ce travail ».

Mme Cameron, qui est également professeure associée à la faculté d’éducation de la Lakehead University, est enthousiaste à l’idée d’investir dans des partenariats entre établissements, organismes et communautés à l’échelle régionale, nationale et internationale, et de les renforcer.

Soutenue en partie par une subvention de partenariat du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) de 2,43 millions de dollars sur sept ans, l’étude de 3,2 millions de dollars au total se concentre sur la collecte et la diffusion des meilleures pratiques en matière de responsabilité sociale et sur l’extension des projets de recherche existants sur la responsabilité sociale à de nouveaux sites et contextes. L’étude permettra également de renforcer les capacités de recherche sur la responsabilité sociale. Les codirecteurs de l’étude, les Drs David Marsh et Alex Anawati, Joseph LeBlanc, Ph.D., ainsi qu’une équipe de plus de 20 chercheurs et 12 organismes partenaires, ont pour objectif de créer et d’élargir un réseau de recherche sur la responsabilité sociale.

Établi en tant que Centre pour la responsabilité sociale de l’Université de l’EMNO en 2021, le Centre est né d’une conviction immuable : que chaque personne, peu importe les circonstances ou la géographie, mérite la dignité d’un accès égal à des praticiens de la santé qui respectent les cultures, comprennent les réalités de la vie dans les régions rurales et éloignées du Nord, et dirigent avec compassion et intégrité.

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À propos de cette étude

Renseignez-vous sur l’étude intitulée Community-engaged Research in Education, Advocacy, and system Transformation for advancing health Equity (CREATE): Exploring the Transformational Potential of Socially Accountable Research Networks Locally and Globally.

Ce financement appuiera une équipe multidisciplinaire constituée des personnes et organismes suivants :

  • Codirecteurs de l’étude : Alex Anawati (Horizon Santé-Nord), David Marsh (Université de l’EMNO) et Joseph LeBlanc (Lakehead University);
  • Collaborateurs : Alain Simard (Université de l’EMNO), Amy Clithero-Eridon (University of New Mexico), Brianne Wood (Centre régional des sciences de la santé de Thunder Bay), Claire Kendall (Université d’Ottawa), David Greenwood (Lakehead University), Jill Konkin (University of Alberta), Hoi Cheu (Université Laurentienne), Jill Allison (Memorial University of Newfoundland), Kathleen Sitter (University of Calgary), Lindsay Galway (Lakehead University), Maxwell Kennel (Université de l’EMNO), Nicole Ranger (Université de l’EMNO), Robert Woollard (University of British Columbia), Robyn Preston (CQUniversity), Roger Strasser (Université de l’EMNO), Shawna O’Hearn (Dalhousie University), Timothy Dubé (Université de Sherbrooke), Danielle Barbeau-Rodrigue (Université de l’EMNO), et Rachel Brown (Université de l’EMNO);
  • Partenaires : CQUniversity (Australia), George Washington University (Washington DC), Horizon Santé-Nord (Sudbury ON), Université Laurentienne (Sudbury ON), Memorial University of Newfoundland (St. John’s NL), Université de l’EMNO (Thunder Bay ON), Association des facultés de médecine du Canada (Ottawa ON), The Network: Towards Unity for Health (Philadelphia PA), The University of New Mexico (Albuquerque NM), Centre régional des sciences de la santé de Thunder Bay (Thunder Bay ON), Training for Health Equity Network (Garden City NY), Université de Sherbrooke (Sherbrooke QC).

À propos de l’Université de l’EMNO

L’Université de l’EMNO est la première université autonome de médecine du Canada et une des stratégies les plus réussies de formation de main-d’œuvre en santé dans le Nord de l’Ontario. Ce n’est pas uniquement un établissement de formation en médecine. Établie expressément pour répondre aux besoins du Nord de l’Ontario en matière de santé, en plus d’encourager l’accès équitable aux soins, elle contribue au développement économique de la région. L’Université de l’EMNO compte sur l’engagement et l’expertise des gens du Nord de l’Ontario pour former des professionnels de la santé aptes à exercer dans des communautés autochtones, francophones, rurales, éloignées et insuffisamment desservies. Axée sur la diversité, l’inclusion et la défense des intérêts, l’Université de l’EMNO est un organisme primé socialement responsable réputé pour son modèle novateur de formation et de recherche régionalisées faisant appel aux communautés.

Écrire à news@nosm.ca pour obtenir d’autres renseignements.

À propos de la Lakehead University

La Lakehead University offre une gamme complète de programmes et comptant environ 9 700 étudiants équivalents temps plein et plus de 2 000 membres du corps professoral et du personnel répartis sur ses deux campus à Orillia et à Thunder Bay (Ontario). Elle abrite neuf facultés : administration des affaires, sciences de l’éducation, génie, études supérieures, sciences de la santé et du comportement, droit, gestion des ressources naturelles, études des sciences et de l’environnement, et sciences sociales et humanités. Ses accomplissements lui valent une réputation nationale et internationale, notamment son classement une fois de plus parmi les dix premières universités canadiennes offrant principalement des programmes de premier cycle, et dans la moitié supérieure du classement mondial des universités de 2023 du Times Higher Education (THE) pour la troisième année consécutive, à la première place des universités dans le monde comptant moins de 9 000 étudiants dans le Impact Rankings 2022 du THE (qui évalue les établissements par rapport aux 17 objectifs de développement durable des Nations Unies).

Un nouveau livre explore les politiques du Canada sur l’aide médicale à mourir

Un ouvrage scientifique publié récemment et édité par un professeur d’université et un avocat spécialiste de la santé apporte une contribution importante à la politique canadienne sur l’aide médicale à mourir (AMAM).

Édité par le Dr Jaro Kotalik, président du comité exécutif du Lakehead University Centre for Health Care Ethics et professeur à l’Université de l’EMNO, et David Shannon, avocat et défenseur des personnes handicapées, l’ouvrage Medical Assistance in Dying in Canada: Key multidisciplinary perspectives est publié par Springer dans l’International Library of Bioethics.

« Avec plus de 30 auteurs de chapitres multidisciplinaires, y compris des autorités juridiques canadiennes, des universitaires et des cliniciens affiliés à plus d’une douzaine d’universités, ce livre offre la première vue d’ensemble complète de l’AMAM », a déclaré le Dr Kotalik.

« Il examine les complexités et les problèmes, et fournit également diverses recommandations sur la façon dont le programme d’AMAM pourrait être amélioré, tout en suggérant des sujets de recherche pertinents qui pourraient être explorés. »

Le lancement national du livre est prévu à Ottawa le mardi 19 septembre à 19 heures au Cardus, situé au 45 rue Rideau, et sera également retransmis en direct.

Un lancement à Thunder Bay suivra en octobre.

Le livre est disponible en ligne, à la librairie de la Lakehead University et dans les bibliothèques des universités Lakehead et de l’EMNO.

« La publication d’un tel ouvrage témoigne du leadership pour lequel les universités Lakehead et de l’EMNO sont réputées. Il s’agit d’une magnifique réalisation, qui intervient à l’occasion du 25e anniversaire de la création du Centre for Health Care Ethics », a dit le Dr Kotalik.

Vous pouvez vous renseigner sur le livre et obtenir votre exemplaire numérique ou imprimé sur le site Web de Springer. 

Vous pouvez vous inscrire pour l’événement en personne ou en ligne ici.

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À propos de l’Université de l’EMNO

L’Université de l’EMNO est la première université autonome de médecine du Canada et une des stratégies les plus réussies de formation de main-d’œuvre en santé dans le Nord de l’Ontario. Ce n’est pas uniquement un établissement de formation en médecine. Établie expressément pour répondre aux besoins du Nord de l’Ontario en matière de santé, en plus d’encourager l’accès équitable aux soins, elle contribue au développement économique de la région. L’Université de l’EMNO compte sur l’engagement et l’expertise des gens du Nord de l’Ontario pour former des professionnels de la santé aptes à exercer dans des communautés autochtones, francophones, rurales, éloignées et insuffisamment desservies. Axée sur la diversité, l’inclusion et la défense des intérêts, l’Université de l’EMNO est un organisme primé socialement responsable réputé pour son modèle novateur de formation et de recherche régionalisées faisant appel aux communautés.

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À propos de la Lakehead University

La Lakehead University offre une gamme complète de programmes et comptant environ 9 700 étudiants équivalents temps plein et plus de 2 000 membres du corps professoral et du personnel répartis sur ses deux campus à Orillia et à Thunder Bay (Ontario). Elle abrite neuf facultés : administration des affaires, sciences de l’éducation, génie, études supérieures, sciences de la santé et du comportement, droit, gestion des ressources naturelles, études des sciences et de l’environnement, et sciences sociales et humanités. Ses accomplissements lui valent une réputation nationale et internationale, notamment son classement une fois de plus parmi les dix premières universités canadiennes offrant principalement des programmes de premier cycle, et dans la moitié supérieure du classement mondial des universités de 2023 du Times Higher Education (THE) pour la troisième année consécutive, à la première place des universités dans le monde comptant moins de 9 000 étudiants dans le Impact Rankings 2022 du THE (qui évalue les établissements par rapport aux 17 objectifs de développement durable des Nations Unies).

La nouvelle initiative « Voie vers la médecine en français » de l’Université de l’EMNO s’attaque aux iniquités en santé dans le Nord

La nouvelle initiative francophone de l’Université de l’EMNO offre à la population étudiante en médecine la possibilité d’étudier en français. 

Lancée en septembre 2022 en tant qu’initiative pilote, son premier groupe était constitué de 90 pour cent de la population étudiante en médecine francophone en première année.

« Le taux de participation élevé reflète la nécessité de cette formation, affirme la Dre Nicole Ranger, responsable du programme francophone et diplômée de l’Université de l’EMNO. La population étudiante francophone parle couramment français à la fin de ses études secondaires et universitaires mais ne maîtrise pas la terminologie médicale en matière de soins aux patients. Sachant qu’il leur serait extraordinairement bénéfique d’apprendre en français, ces francophones ont été ravis d’être les premiers participants et sont en train de devenir de solides ambassadeurs de notre initiative. »

Auparavant, les personnes qui souhaitaient effectuer des stages cliniques en français devaient effectuer des travaux supplémentaires en plus de leur programme d’études. La Voie vers la médecine en français est plus équitable et permet de suivre une partie du programme obligatoire en français.

Le projet pilote se déroulera sur quatre ans, avec des années supplémentaires du programme de médecine ajoutées à mesure que la première cohorte progresse dans ses études. Bien que toutes les activités éducatives ne soient pas offertes en français, les francophones participent actuellement à des petits groupes d’apprentissage en français tout au long de leurs deux premières années d’études de médecine.  Sur le campus, ils interagissent également avec des patients standardisés francophones lors de certaines séances axées sur les compétences cliniques. Ils peuvent également effectuer des stages cliniques en français, et tous les efforts sont faits pour les jumeler avec des précepteurs francophones.

La formation des nouveaux médecins en français améliorera l’équité de l’accès aux soins de santé dans le Nord de l’Ontario. « La langue est l’un des déterminants sociaux de la santé,  souligne la Dre Ranger. La prestation de soins dans la langue que les patients connaissent le mieux, leur langue maternelle, est un aspect essentiel de l’amélioration de la communication entre les fournisseurs de soins et les patients et de l’amélioration de la sécurité des patients. »

Le premier groupe est conscient de l’intérêt d’effectuer ses études de médecine en français.

Selon l’étudiant en médecine Félix Lavigne : « Compte tenu de la grande population francophone dans le Nord de l’Ontario, je tiens à pouvoir offrir des soins de santé équitables en français et en anglais. En tant que médecin, le fait de permettre à un patient de s’exprimer dans sa langue maternelle peut améliorer toute rencontre médicale ».

En alignant les programmes de formation sur les besoins sociaux et communautaires, l’Université de l’EMNO forme des médecins qui transforment les systèmes de soins de santé et améliorent les résultats en matière de santé de la population.

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L’Université de l’EMNO est la première université autonome de médecine du Canada et une des stratégies les plus réussies de formation de main-d’œuvre en santé dans le Nord de l’Ontario. Ce n’est pas uniquement un établissement de formation en médecine. Établie expressément pour répondre aux besoins du Nord de l’Ontario en matière de santé, en plus d’encourager l’accès équitable aux soins, elle contribue au développement économique de la région. L’Université de l’EMNO compte sur l’engagement et l’expertise des gens du Nord de l’Ontario pour former des professionnels de la santé aptes à exercer dans des communautés autochtones, francophones, rurales, éloignées et insuffisamment desservies. Axée sur la diversité, l’inclusion et la défense des intérêts, l’Université de l’EMNO est un organisme primé socialement responsable réputé pour son modèle novateur de formation et de recherche régionalisées faisant appel aux communautés.

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