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Posted on November 7, 2018
T.C Tai

Les recherches à l’École de médecine du Nord de l’Ontario jouent un rôle à part entière dans sa responsabilité sociale envers la population qu’elle sert. En 2013, l’École a créé la fonction de doyen adjoint, Recherche, dans le but d’aider Penny Moody-Corbett, doyenne associée, Recherche, et la direction de l’École à réaliser les priorités du plan stratégique et à promouvoir la recherche dans le Nord. Cet été, le professeur TC Tai a pris la relève de David MacLean au poste de doyen adjoint, Recherche. Nous désirons remercier M. MacLean pour ses contributions à la recherche à l’EMNO et souhaitons la bienvenue à M. Tai.

 

David MacLean

 

David MacLean, professeur de physiologie à l’EMNO, a été le premier doyen adjoint responsable de la recherche. Pendant cinq ans, il a lancé plusieurs initiatives pour mieux faire connaître la recherche à l’EMNO, y compris le programme de cliniciens invités Physicians’ Services Incorporated qui amène des chercheurs-cliniciens chevronnés à l’EMNO afin d’offrir des possibilités d’éducation à des médecins intéressés par la recherche et de les aider à acquérir les compétences en recherche ou à concevoir des études.

Il a aussi supervisé la création et chaque numéro de Le scope qui renseigne nos communautés sur les recherches menées à l’EMNO. En outre, il est à l’origine de l’élaboration du premier programme d’études supérieures de l’EMNO, une maîtrise en études médicales.

« Ce fut un plaisir d’aider le corps professoral et les étudiants dans leurs recherches et de voir leurs contributions à l’amélioration de la santé de la population du Nord de l’Ontario » dit-il.

 

TC Tai

 

TC Tai, professeur de physiologie et de pharmacologie à l’EMNO, a pris la relève au poste de doyen adjoint, Recherche, en juillet de cette année. Il espère pouvoir continuer de promouvoir l’EMNO à titre d’institut de recherche de calibre mondial qui a une perspective unique appréciable : « Je veux que les communautés du Nord de l’Ontario ainsi que tout le pays et le monde comprennent ce que les chercheurs de l’EMNO font, ont le potentiel de faire, et ce que cela signifie pour la santé de la population de notre région et d’ailleurs ».