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Les pourparlers entre l’EMNO et l’unité du personnel du SEFPO

Les pourparlers entre l’École de médecine du Nord de l’Ontario (EMNO) et l’unité du personnel du Syndicat des employés et employées de la fonction publique de l’Ontario (SEFPO) ont pris fin tôt ce matin sans conclure une entente. L’unité du personnel du SEFPO a arrêté les pourparlers tout juste après minuit.

Les deux parties se rencontrent depuis octobre 2009 dans le but de négocier une première entente collective de l’École avec l’unité du personnel du SEFPO. Avec l’aide d’un médiateur du ministère du Travail, les pourparlers ont eu lieu à Thunder Bay à compter de mercredi 11 août.

Les 152 membres qui forment l’unité du personnel du SEFPO occupent des postes administratifs, techniques et de service. Ces derniers ne comprennent pas les employés qui sont membres du corps professoral et autres employés qui ont été déterminés comme étant exclus du syndicat.

Présentement, l’EMNO a une entente collective avec son corps professoral, ses bibliothécaires et son personnel professionnel qui a été négociée avec succès en 2006 et renouvelée en 2008.

L’École de médecine du Nord de l’Ontario s’engage à soutenir un environnement d’apprentissage positif durant cette interruption de travail potentielle et prend toutes les mesures nécessaires pour minimiser les interruptions.

Les mesures ont été prises pour assurer que tous les programmes d’enseignement de l’EMNO déjà prévus continuent.

L’EMNO maintient son engagement à conclure une première entente collective avec le SEFPO qui reflète, de façon juste, la nature unique de l’EMNO et de ses effectifs.
Pour de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec :

news@nosm.ca

L’EMNO est engagée au processus de négociations avec l’unité du personnel du SEFPO

L’École de médecine du Nord de l’Ontario (EMNO) et l’unité du personnel du Syndicat des employés et employées de la fonction publique de l’Ontario (SEFPO) se rencontrent mensuellement, alternant entre Sudbury et Thunder Bay, depuis octobre 2009 afin de négocier la première entente collective du personnel du SEFPO de l’École.

Présentement, l’EMNO a une entente collective avec son corps professoral, ses bibliothécaires et son personnel professionnel qui a été négociée avec succès en 2006 et renouvelée en 2008.

Un agent de conciliation du ministère du Travail a assisté aux séances de négociations de l’unité du personnel les 19 et 21 juillet à Thunder Bay. À la fin de la séance du 21 juillet, le SEFPO a quitté la table et a demandé l’émission d’un rapport recommandant de ne pas instituer de commission de conciliation. Le rapport a été émis le vendredi 30 juillet 2010 et par conséquent, le SEFPO peut légalement faire la grève à compter du 16 août 2010.

Les 29 juillet et 3 août, le SEFPO a tenu des votes de grève et ses membres ont voté en faveur d’un mandat de grève afin d’appuyer les revendications contractuelles. Cent cinquante-deux membres forment le SEFPO Section locale 677 (Unité 2).

L’EMNO tente de son mieux d’éviter une grève par le SEFPO Section locale 677 (Unité 2). La médiation entre l’EMNO et l’unité du personnel du SEFPO est prévue pour les 11 au 13 août 2010.

L’EMNO maintient son engagement à continuer le processus de négociations afin d’obtenir une première entente collective qui reflète, de façon juste, la nature unique de l’EMNO et de ses effectifs.

Une professeure de l’EMNO participe à une collaboration internationale sur la formation médicale afin d’améliorer la santé des Autochtones

Des chercheurs canadiens, australiens et néo zélandais s’allient pour explorer des questions de santé

L’École de médecine du Nord de l’Ontario (EMNO) a le plaisir d’annoncer la participation de Kristen Jacklin, Ph. D. à une nouvelle grande collaboration internationale visant à améliorer le traitement des maladies chroniques chez les patients autochtones.

Les scientifiques exploreront les similitudes entre les peuples autochtones et les questions de santé. Ils examineront notamment le diabète et sa prévalence dans les communautés autochtones dans le but d’améliorer la santé dans ces populations.

Mme Jacklin, co-chercheuse principale, estime que cette étude pourrait être bénéfique pour les Autochtones du Nord de l’Ontario souffrant de diabète. Elle souligne que même si des recherches menées dans cette région évaluent le degré de soins prodigués aux Autochtones, il n’en existe aucune aussi poussée que celle-ci qui a pour but d’améliorer les résultats en matière de diabète en fournissant des soins cliniques appropriés et respectueux de la culture.

L’EMNO se joint à trois universités du pays (University of Calgary, Queen’s University et University of British Columbia) pour constituer l’équipe canadienne participant à cette étude échelonnée sur cinq ans qui est intitulée : « Educating for equity : Exploring how health professionnal education can reduce disparities in chronic disease care and improve outcomes for Indigenous populations ».

Selon l’autre co-chercheur principal, le Dr Lindsay Crowshoe de l’University of Calgary, le fardeau des maladies chroniques dans les peuples autochtones des trois pays est plus lourd que chez leurs homologues non autochtones. La raison peut être en partie l’accès limité aux soins de haute qualité. Cette étude a pour but de faire mieux comprendre les conséquences des différences dans la prise de décision clinique, les communications et l’intervention auprès des patients et des familles sur les résultats pour la santé des patients autochtones.

L’étude est subventionnée par l’International Collaborative Indigenous Health Research Program, créé et financé par les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), le Health Research Council of New Zealand et le National Health and Medical Research Council of Australia.

Les IRSC verseront la contribution canadienne qui se chiffre à 1,25 million de dollars. « Je suis très heureux que des chercheurs de quatre universités canadiennes se soient alliés à des collègues australiens et néo-zélandais pour se pencher sur la question de la formation des cliniciens de manière aussi vaste et en insistant sur la culture, a déclaré M. Malcom King, Ph. D., directeur scientifique à l’Institut de la santé des Autochtones (ISA) des IRSC. Par l’entremise de l’ISA, les IRSC sont déterminés à travailler avec les peuples autochtones pour créer les outils nécessaires pour répondre à leurs problèmes de santé uniques ».

Les autres principaux chercheurs canadiens sont les Drs Michael Green (Queen’s University), Betty Calam, Kendall Ho et Mme Leah Walker (University of British Columbia).

M. Rhys Jones, Ph. D., de l’University of Auckland, et la professeure Helen Milroy de l’University of Western Australia s’occuperont des aspects internationaux de l’étude. Chaque pays explorera un aspect différent de la formation médicale, et les équipes se réuniront régulièrement au cours des cinq prochaines années pour partager leur expertise et comparer le financement dans les pays.

Depuis dix ans, les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) contribuent à l’amélioration de la santé des Canadiens et des soins qui leur sont offerts. À titre d’organisme du gouvernement du Canada chargé d’investir dans la recherche en santé, les IRSC aident à la création de données probantes qui permettent d’améliorer les traitements, la prévention et les diagnostics, et qui mènent à de nouveaux produits et services, ainsi qu’à un système de santé renforcé et axé sur le patient. Formés de 13 instituts reconnus à l’échelle internationale, les IRSC soutiennent plus de 13 000 chercheurs et stagiaires en santé dans tout le Canada.

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